LavolontĂ© de donner Ă  la rĂ©flexion sur le dĂ©veloppement durable une dimension tactile et matĂ©rielle par l’élaboration, la conception et la rĂ©alisation de maquette ou posters 3D a portĂ© le projet jusqu’au partage des productions, sous la forme d’une exposition au sein du lycĂ©e Louis Armand de Mulhouse. Contents1 Comment construire une maquette d’une maison?2 Comment construire une ville en carton?3 Comment on fait une maquette?4 Comment faire un pont avec une feuille de papier?5 Quelle matiĂšre pour faire une maquette?6 Comment construire une maquette de maison en carton?7 Comment est la ville du futur?8 Comment faire une maquette en 3d?9 Comment faire un arbre en papier facile?10 Comment dĂ©crire une maquette?11 Comment faire une maquette numĂ©rique?12 Comment faire une maquette d’une application? Choisissez une Ă©chelle de 1/100. Pour commencer dessinez votre plan sur une feuille. Ensuite reproduisez le plan sur la plaque de carton plume, appuyez lĂ©gĂšrement pour ne pas abimer la plaque. Pour que votre maquette soit solide et rĂ©sistance, optez pour un carton bois ou gris. Vous aurez besoin de boites en carton de taille diffĂ©rentes, de tubes de papier toilette, de papier blanc en rouleau ou du papier kraft, et beaucoup d’imagination! Enveloppez les boites pour cacher le packaging. Laissez vos enfants dessiner les briques, les fenĂȘtres et les portes, des pots de fleurs
 La rĂ©alisation d’une maquette architecturale carton plume, balsa se fait gĂ©nĂ©ralement par collage des Ă©lĂ©ments. Il est cependant interessant d’utiliser d’autres types d’assemblages mĂ©caniques, permettant notamment des changements de montage et de configuration vis, boulons Rouler une feuille, en un seul cercle, dans le sens de la largeur et la fixer avec des morceaux de scotch. Elle doit former un cylindre. Ensuite, il ne reste plus qu’à poser dĂ©licatement en Ă©quilibre un objet d’un poids de 1Kg la feuille de papier suffit Ă  soutenir l’objet. Quelle matiĂšre pour faire une maquette? La rĂ©alisation d’une maquette peut se faire avec plusieurs matĂ©riaux. La plupart des maquettes se font soit avec des matĂ©riaux plastiques DĂ©pron, carton mousse, carton plume, polystyrĂšne
, soit en bois Balza, MDF
 DĂ©couper le carton en vous servant d’un stylet. Une fois que vous avez fini de dĂ©couper, veiller Ă  coller les murs avec une colle transparente. Pour vos piliers, vous pouvez utiliser la mĂȘme mĂ©thode. Pour la construction des fenĂȘtres, opter pour des PVC. Les villes devront ĂȘtre autonomes en matiĂšre d’énergie. Des immeubles pourront ĂȘtre capables de gĂ©nĂ©rer de l’électricitĂ© grĂące Ă  des Ă©oliennes et des panneaux solaires intĂ©grĂ©s. En plus du systĂšme de panneaux solaires et d’éoliennes, il sera capable d’absorber et dĂ©truire les particules polluantes de l’air parisien. DĂ©couvrez les Ă©tapes de son projet, de la modĂ©lisation Ă  la fabrication. Étape 1 L’évaluation du projet par notre bureau d’études. Étape 2 Fabrication de la maquette. Étape 3 DĂ©poudrage des piĂšces. Étape 4 Mise en peinture et assemblage. Étape 5 Maquette finalisĂ©e. DĂ©coupez de grandes bandes de papier de construction vert, de 5 Ă  7 cm de longueur. DĂ©coupez des fentes proches les unes des autres vers le bas de l’ arbre, en laissant environ 1 cm d’espace en haut des bandes pour crĂ©er les franges des branches. Ajoutez les branches. Commencez par le bas et travaillez par rangĂ©es. Une maquette d’Architecture est une miniaturisation d’un Ă©difice, d’un monument, d’une sculpture, etc. L’objectif est de pouvoir mieux apprĂ©hender le projet avant sa construction effective. Ainsi la maquette devient un outil pratique de jugement de la qualitĂ© architectural d’un projet, longtemps avant sa construction. Afin de modĂ©liser une maquette numĂ©rique, il faudra choisir un plan; dessiner une esquisse avec une figure gĂ©omĂ©trique simple; coter l’esquisse; extruder des formes 2D 2 dimensions en forme 3D 3 dimensions; apporter les modifications nĂ©cessaires afin d’obtenir la forme voulue. LES LOGICIELS POUR CRÉER LES MAQUETTES DE VOTRE APPLICATION MOBILE AXURE RP, DES PROTOTYPES ET DES WIREFRAMES SIMPLES. BALSAMIQ, LE MEILLEUR POUR DES MAQUETTES SCHÉMATIQUES. DES MAQUETTES D APPLICATION MOBILE FONCTIONNELLES AVEC CACOO. FIGMA, LE MEILLEUR POUR DES PROTOTYPES DYNAMIQUES.

LarĂ©alisation de la maquette de la ville de GenĂšve, composĂ©e de 145 modules amovibles, est le fruit d’une Ă©troite collaboration entre diffĂ©rents professionnel-le-s: les gĂ©omĂštres, les urbanistes et les maquettistes. ©. Plusieurs Ă©tapes sont

Voici un extrait du projet interdisciplinaire Vers une mobilitĂ© responsable » rĂ©alisĂ© en partenariat avec Renault. À rĂ©aliser avec vos Ă©lĂšves ! Cette activitĂ© permet d’imaginer la ville de demain. Pour obtenir les documents associĂ©s Ă  cette activitĂ©, ou dĂ©couvrir l’ensemble du projet, rendez-vous sur WebPĂ©dago, notre plateforme gratuite. ActivitĂ© pĂ©dagogique RepĂšres pour l’enseignant Ancrages programmes Français 5e – Imaginer des univers nouveaux ; 4e – La ville, lieu de tous les possibles ? – CompĂ©tence du programme Adopter des stratĂ©gies et des procĂ©dures d’écriture. Objectifs Étudier un texte descriptif. Pratiquer l’écriture d’invention. Travailler au brouillon. Rendu Texte descriptif de la ville de demain et de ses transports. Consigne pour l’élĂšve Au cours de cette Ă©tape, tu vas ĂȘtre amenĂ©e Ă  rĂ©aliser une bande dessinĂ©e sur le thĂšme de la ville du futur, une ville idĂ©ale, dans laquelle les problĂšmes de transports Ă©voquĂ©s auparavant dans ce projet auraient trouvĂ© leurs solutions. Avant de te lancer, tu vas Ă©tudier un extrait de roman d’anticipation dans lequel le narrateur imagine une ville futuriste. Mais au fait, qu’est-ce qu’un roman d’anticipation ? Essaye de le dĂ©finir avec tes camarades de classe. Quel autre nom donne-t-on aux romans d’anticipation de nos jours ? 1. Lis bien attentivement la description du Paris idĂ©al vu par Louis-SĂ©bastien Mercier dans L’An 2440, et rĂ©ponds aux questions avec un camarade de classe. Mettez ensuite vos rĂ©ponses en commun avec le reste de la classe. 2. À ton tour d’imaginer la ville du futur Ă  travers un texte descriptif. Pour que le lecteur puisse la percevoir au mieux, une description sensorielle est requise c’est-Ă -dire que ta description devra permettre aux lecteurs d’en voir les dĂ©tails, d’imaginer les odeurs et les bruits de la ville. RĂ©ponds aux questions de l’exercice La description sensorielle de ma ville » avant de te lancer dans la rĂ©daction de ton texte elles t’aideront Ă  imaginer ta ville. [button-green url= » » target= »_blank » position= »left »]DĂ©couvrir l’ensemble du projet et tĂ©lĂ©charger les ressources ![/button-green] julie
dansun premier temps, une bande de trottoir de 2m a été réalisée, le long des façades au droit des habitations ou des commerces (durée : 1 mois et demi environ), dans un second temps, ont été réalisé la partie du trottoir restant à achever, les places de stationnement le long de la chaussée et la voie de circulation (durée : 2 mois et demi environ).
Un atelier. 100 mĂštres carrĂ©s couverts de fraiseuses, dĂ©fonceuses Ă  bois, imprimantes 3D, dĂ©coupes vinyles
 Et autour une armada de bricoleurs amateurs ou professionnels qui s’affairent sur les objets de demain. Bienvenue dans un Fab Lab ! Le Fab Lab est un concept qui a Ă©tĂ© dĂ©fini en 2004 par Neil Gershenfeld. Ce professeur au MIT Massachusetts Institute of Technology s’était rendu compte que ses Ă©tudiants venaient utiliser le soir les machines dont ils se servaient pendant les cours, afin de mener Ă  bien des projets personnels. L’idĂ©e lui est alors venue d’ouvrir des laboratoires destinĂ©s au grand public », explique Fabien Eychenne, chef de projet Ă  la FING Fondation Internet Nouvelle GĂ©nĂ©ration. Le concept fait alors des Ă©mules et s’exporte dans le monde entier NorvĂšge, Kenya, Ghana
 et la France. L’idĂ©e est celle d’un atelier ouvert Ă  tous dans lequel on retrouve des machines Ă  commandes numĂ©riques, qui permettent de prototyper tout et n’importe quoi ». Le MIT dĂ©veloppe alors une charte permettant l’ouverture partout dans le monde de Fab Lab en adhĂ©rant Ă  ses valeurs, les Fab Lab s’engagent Ă  respecter l’idĂ©e de partage des savoirs, de machines en libre-service et surtout de rĂ©seau entre les Fab Lab afin de partager les expĂ©riences et avancĂ©es de chacun. L’idĂ©e est qu’un objet produit Ă  Boston grĂące Ă  un Fab Lab pourra ĂȘtre rĂ©pliquĂ© Ă  Paris ou Amsterdam grĂące aux Ă©changes de donnĂ©es entre les deux structures », prĂ©cise Fabien loisir au prototype industrielLe concept s’implante peu Ă  peu en France, avec de plus en plus de projets qui voient le jour, comme Artilect, Ă  Toulouse. J’ai créé l’association Artilect il y a 2 ans et demi et nous sommes devenus un Fab Lab il y a 1 an avec la labellisation MIT », raconte Nicolas Lassabe, directeur du Fab Lab. A Toulouse il n’y avait pas de lieu pour fabriquer des objets et rencontrer des gens aux compĂ©tences diverses ». Alors l’étudiant en informatique dĂ©cide avec un ami de crĂ©er ce lieu. Nous nous sommes peu Ă  peu dĂ©veloppĂ©s, et nous sommes fait rĂ©pertorier dans le rĂ©seau des Fab Lab MIT ». DĂ©sormais Artilect rĂ©unit Ă©tudiants, architectes, designers, Ă©lectroniciens, artistes, qui souhaitent utiliser ces machines en libre-service afin de tester leurs idĂ©es. Nous voyons Ă©galement des particuliers qui viennent pour des projets personnels ou leur loisir ainsi que des sociĂ©tĂ©s qui veulent rĂ©aliser un prototype fonctionnel pour ensuite pouvoir dĂ©marrer une activitĂ© », dĂ©crypte Nicolas Lassabe. Fabien Eychenne souligne par ailleurs que les profils des Fab Labeurs » dĂ©pendent beaucoup des lieux chaque Fab Lab a pris une couleur en fonction du Fab manager qui porte la structure », explique-t-il. Ainsi l’atelier collaboratif de Barcelone est plus tournĂ© vers l’architecture, celui de Manchester vers les entreprises, PME et PMI pour l’aide Ă  l’innovation, ou encore les Fab Lab amĂ©ricains souvent axĂ©s vers les Ă©tudiants car gĂ©nĂ©ralement portĂ©s par des facultĂ©s et universitĂ©s. Dans tous ces lieux, les utilisateurs peuvent aussi bien venir pour des petites rĂ©alisations, comme le bricoleur qui vient se crĂ©er un meuble adaptĂ© Ă  ses besoins, qu’un projet d’envergure. A Barcelone, une maison entiĂšre a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e dans un Fab Lab ! », note fabien Eychenne.Artilect/Fab Lab ToulouseUn tremplin pour les crĂ©ateurs d’entreprisePour GaĂ«tan Severac, ingĂ©nieur, Artilect a Ă©tĂ© l’occasion de rĂ©aliser son projet professionnel. Avec mes associĂ©s, nous avions l’idĂ©e de dĂ©velopper de nouveaux outils pour l’agriculture raisonnĂ©e, dans le cadre d’AMAP. Nous voulions rĂ©duire le coĂ»t et la taille des outils pour le dĂ©sherbage », explique-t-il. Nous nous sommes alors tournĂ©s vers Artilect pour trouver l’expertise dont nous manquions et crĂ©er une premiĂšre maquette ». GaĂ«tan Severac dĂ©veloppe une premiĂšre maquette puis une seconde, Ă  partir de matĂ©riaux de rĂ©cupĂ©ration majoritairement. Cela nous a permis de dĂ©grossir le projet Ă  moindre frais et d’asseoir la faisabilitĂ© du projet, en effectuant les premiers tests et en bĂ©nĂ©ficiant de conseils prĂ©cieux d’experts sur place ». Pour l’ingĂ©nieur, le Fab Lab a avant tout Ă©tĂ© l’outil indispensable pour conforter son projet trĂšs en amont de la crĂ©ation de son business model Ă  consoliderQuant au financement des Fab Lab, chaque lieu cherche son Ă©quilibre en fonction de ses spĂ©cialisations. Il y a un vrai questionnement sur le modĂšle Ă©conomique Ă  appliquer, rappelle Fabien Eychenne. Comment garder ce lieu gratuit et assurer sa pĂ©rennitĂ© ? ». Trois solutions sont appliquĂ©es pour le moment. D’abord la formation et l’accompagnement de projets. Ensuite, l’appel Ă  des subventions publiques. Nous avons touchĂ© environ 8000 euros de subventions de la mairie et pouvons embaucher notre premier salariĂ© grĂące au fonds europĂ©en », confirme Nicolas Lassabe, d’Artilect. Autre alternative observĂ©e avec attention par les Fab Labeurs faire appel Ă  des financements privĂ©s, en se rapprochant d’entreprises partenaires. Nous avons Ă©tĂ© contactĂ©s par des groupes industriels sĂ©duits par l’approche, confie Nicolas Lassabe. Ils sont particuliĂšrement intĂ©ressĂ©s par la rapiditĂ© des rĂ©alisations, le regroupement sur un mĂȘme lieu de compĂ©tences et univers divers et d’étudiants pluridisciplinaires ». Reste dĂ©sormais Ă  trouver la bonne forme de collaboration. Nous y allons progressivement ». L’idĂ©e Ă©tant pour les entreprises de trouver dans ces Fab Lab de vĂ©ritables laboratoires de tendances, leur permettant de dĂ©crypter les objets et dĂ©nicher les talents de demain. Ainsi l’entreprise Ford Ă  DĂ©troit aux Etats-Unis a cofinancĂ© l'ouverture d’un tech shop », une forme de Fab Lab plus dĂ©veloppĂ©e. Ils crĂ©ent ainsi un territoire d’expĂ©rimentation pour les crĂ©ateurs. Ces derniers peuvent ne pas avoir l’envie ou les moyens de dĂ©velopper leurs idĂ©es au-delĂ  du stade du prototype. C'est alors que Ford peut prendre le relais », explique Fabien Eychenne. Et de continuer les enjeux sont nombreux et formidables, le premier d’entre eux Ă©tant que les Fab Lab abaissent les barriĂšres Ă  l’innovation ».Artilect/Fab Lab Toulouse DĂ©coupe LaserLe site d'Artilect Fab Lab Toulouse
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En 2050, les villes abriteront six milliards de personnes, soit prĂšs de 70 % de la population mondiale. Un peu comme un laboratoire, Hong Kong expĂ©rimente des solutions nouvelles. Architectes et chercheurs y proposent des espaces verts sur les immeubles ou une flotte de vĂ©hicules autonomes. Un Ă©pisode de RĂȘver le futur, sur PlanĂšte + nous les fera dĂ©couvrir ce soir Ă  20 h 45. Futura a abordĂ© ce sujet Ă  de nombreuses reprises. Voici une balade dans les villes du futur...Cela vous intĂ©ressera aussi [EN VIDÉO] Walkcar, un Ă©trange vĂ©hicule Ă©lectrique Walkcar est un curieux petit vĂ©hicule Ă©lectrique permettant de se dĂ©placer facilement en milieu urbain. Plus pratique et compact qu’un vĂ©lo, il peut tenir facilement dans un sac. En voici une dĂ©monstration en vidĂ©o. Conditions de circulation difficiles, pollution de l’air, qualitĂ© de vie sacrifiĂ©e. Vivre en ville apparaĂźt comme de plus en plus compliquĂ©. Pourtant, en 2050, le monde ne comptera pas moins de 6 milliards de citadins chiffres Banque mondiale. Il semble donc indispensable de remodeler le paysage urbain pour le rendre plus efficace et plus agrĂ©able Ă  vivre. C'est le dĂ©fi lancĂ© aux grandes villes de la ville du futur
La ville durable de demain sera, Ă  n'en pas douter, une ville sobre, compatible avec une planĂšte aux ressources limitĂ©es. MĂȘme si les idĂ©es proposĂ©es par les architectes peuvent parfois sembler un peu folles...Naturopolis New York, la rĂ©volution verte. Ou comment une mĂ©galopole est en train de se repenser sous nos yeux. Dans cinquante ou cent ans, les villes seront diffĂ©rentes de celles d’aujourd’hui. C’est une nĂ©cessitĂ©, mais il faut y rĂ©flĂ©chir maintenant. © Docside Production, Arte, Science & TĂ©lĂ©vision
 pour en faire une vĂ©ritable ville sensibleCrĂ©er du lien entre la ville et ses habitants, en faire un lieu d'Ă©panouissement intellectuel et de proximitĂ© avec la nature, c'est l'enjeu d'une ville plus sensible. Ce modĂšle urbain totalement nouveau offrira aux citadins de demain la possibilitĂ© de jouir de quantitĂ©s de biens et de services, au bon endroit et au bon nourrir les citadins de demain ?Aujourd'hui, la capacitĂ© des villes Ă  nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c'est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. À l'avenir, c'est l'ensemble du systĂšme qu'il faudra revoir notamment en prĂ©voyant des espaces de production en ville, mais aussi en Ă©vitant le gaspillage l’énergie pour les villes du futurLa question Ă©nergĂ©tique se place au cƓur des questions posĂ©es par les villes de demain. Dans un contexte de rĂ©chauffement climatique de plus en plus pesant, les urbanistes devront aux citadins de penser les villes de demain en y incluant une rĂ©flexion sur la production d’énergie se dĂ©placeront les citadins de demain ?Les transports reprĂ©sentent un autre enjeu majeur de la ville de demain. Une question de prĂ©servation de l'environnement, une question de santĂ© mais aussi une question de bien vivre en cette vidĂ©o, Nissan et le cabinet d’architecture Foster Partners exposent leur vision de la station-service du futur » qui n’a plus rien Ă  voir avec ce que nous connaissons aujourd’hui. © Nissan Europe, YouTubePlan de dĂ©placement urbain en quoi consiste-t-il ?COP21 les transports non polluants sont-ils la clĂ© d’un futur Ă©cologique ?La voiture autonome de Google comprend les gestes des cyclistesNavya, le premier vĂ©hicule autonome et Ă©lectrique disponible Ă  la venteUne appli pour trouver une place de parking libreLondres va tester des passages piĂ©tons intelligents »IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ? Votremission est de construire une maquette de la ville du futur. Pour vous aider dans votre mission : 1Ăšre Ă©tape : Etudiez les documents proposĂ©s et choisissez comment la ville de LĂ©zignan en 2070 s’est dĂ©veloppĂ©e. Plusieurs possibilitĂ©s s’offrent Ă  vous : - LĂ©zignan a gardĂ© ses limites actuelles - LĂ©zignan s’est Ă©talĂ©e
ActivitĂ© de l'entreprise 1001rues propose de gĂ©nĂ©rer la conception des villes de demain par la parole des usagers. Pour concrĂ©tiser cette vision 1001rues conçoit des outils numĂ©riques de concertation citoyenne orientĂ©s projet. Les donnĂ©es rĂ©coltĂ©es par nos outils, une fois traitĂ©es, vont se matĂ©rialiser dans le design du projet. Offrant, aux dĂ©cideurs et concepteurs, diffĂ©rents scĂ©narios de conception des espaces issus de la parole de l’usager. La dĂ©marche de 1001rues ne s’oppose pas Ă  une concertation sur le terrain, plus classique; elle cherche Ă  la complĂ©ter et Ă  gommer ses lacunes. Notamment, le manque de participation des usagers ou futurs usagers, la monopolisation de la parole par un individu ou groupe d’individu ou encore la difficultĂ© Ă  faire remonter des donnĂ©es concrĂštes et utiles au projet. RĂ©fĂ©rences de l'entreprise Localisation Seine-et-Marne CatĂ©gorie DĂ©mocratie locale et relation avec les citoyens Structure du client EPAMARNE BIM citoyen Le BIM Citoyen est un outil de concertation numĂ©rique en ligne qui permet aux utilisateurs d'agir sur diffĂ©rents scĂ©narios proposĂ©s par les Ă©quipes de concepteur. A l’instar d’un serious game, l’internaute peut dĂ©couvrir le quartier au travers d’une maquette en 3D et s’immerger dedans. Il peut ainsi modifier diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de la ville tels que les voiries, les espaces verts, la hauteur des bĂątiments
 mais comme dans un serious game, tous ces changements sont soumis Ă  des contraintes budgĂ©taires et aux rĂ©glementations environnementales et urbanistiques. Ainsi, le “joueur” peut voir au cours de sa construction, les impacts carbone, Ă©conomiques, esthĂ©tiques
 de ses propositions. Lien de l'application Localisation Seine-et-Marne CatĂ©gorie DĂ©mocratie locale et relation avec les citoyens Structure du client EPAMARNE Imaginer son parc Quand SimCity rencontre la participation. Imaginer son parc c’est un jeu, qui Ă  l’instar de SimCity permet Ă  l’utilisateur de crĂ©er son projet idĂ©al en partant d’un plateau de jeu Ă  remplir avec des programmations prĂ©alablement choisie avec nos commanditaires. L’application a fourni un grand nombre de propositions parfois similaires, mais souvent trĂšs diffĂ©rentes les unes des autres. Ces propositions sont passĂ©es par plusieurs filtres d’analyse afin de fournir Ă  l’arrivĂ©e une synthĂšse comprĂ©hensible par les professionnels de l’amĂ©nagement comme par les citoyens non familiarisĂ©s avec les pratiques des grands projets urbains . La plateforme Ă©tait composĂ©e de deux outils une galerie de rĂ©fĂ©rence et un plateau de jeux . La galerie de rĂ©fĂ©rence permettait aux utilisateurs d’aimer les images de rĂ©fĂ©rences de parcs existants qu’ils prĂ©fĂ©raient le plus. Plus de 500 likes ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s sur les 90 images de rĂ©fĂ©rence proposĂ©es au vote. L’analyse de ces votes consiste Ă  dĂ©gager les ambiances les plus plĂ©biscitĂ©es pour le futur parc de Serris. Le plateau de jeu questionne directement sur la programmation. Il prend la forme d’un jeu de plateau et propose aux utilisateurs de composer leur propre parc sur un pĂ©rimĂštre donnĂ©. DiffĂ©rents objets correspondant aux programmes possibles sont proposĂ©s Ă  l’utilisateur qui compose son parc. Celui-ci est amenĂ© Ă  faire des choix puisqu’il fait face tant Ă  la contrainte budgĂ©taire qu’à la contrainte de consommation de l’espace. 300 parcs ont Ă©tĂ© créés.
Aussi la ville de Cannes s’est appuyĂ©e sur IGO pour mettre en place une plateforme 3D, innovante et interopĂ©rable, pour l’aide Ă  la dĂ©cision et la communication Ă  destination des services techniques, des Ă©lus et du grand public. Les objectifs : Faire communiquer les donnĂ©es du SIG avec les donnĂ©es 3D et permettre : l PubliĂ© le 12 avril 2018 AmĂ©nagement et foncier, urbanisme, CohĂ©sion des territoires A l'heure oĂč le programme Action coeur de ville consacre la fonction de directeur de centre-ville, comment se construit la profession de “manager de centre-ville” ? L'aperçu des formations en projet pour ce type de postes permet de dessiner le profil type de cette profession en devenir. Alors que certains acteurs territoriaux s'autorisent Ă  constater la torpeur du monde des unions commerçantes - on en compterait moins d'une cinquantaine actives Ă  Paris, pour quelques 250 associations enregistrĂ©es -, la profession de “manager de centre-ville”, pour sa part, semble prospĂ©rer. Assiste-t-on Ă  un renouveau de l'animation des centres-ville, vers un modĂšle plus dirigiste et moins collĂ©gial ? Qu'en est-il aujourd'hui de cette profession et ses voies d'accĂšs ? Un mĂ©tier dans la lignĂ©e des unions commerciales Le Club des managers de centre-ville et de territoire CMCV compte pas moins de 250 managers en activitĂ©, parmi lesquels sont distinguĂ©s trois profils selon le niveau de complexitĂ© de leur intervention territoriale. Le "manager de commerce" a une mission opĂ©rationnelle d'animation et de promotion, au sein des unions commerciales, dans une posture de coordination. Le "manager de centre-ville" assure, en complĂ©ment des missions du manager de commerce, la fonction stratĂ©gique d'interface avec les services de la collectivitĂ© il dispose Ă  ce titre de leviers d'action Ă©tendus, notamment en matiĂšre de communication. Enfin, le "manager de ville et de territoire" est chargĂ© d'une fonction d'expertise et de conseil en faveur de la dynamisation du tissu commercial ; il assume un leadership sur l'ensemble des acteurs associĂ©s Ă  la rĂ©flexion stratĂ©gique. Le CMCV inscrit les mĂ©tiers du management de centre-ville dans le prolongement de l'intervention des unions commerçantes, dont il appelle Ă  la professionnalisation “en permettant que des membres du bureau d'une union commerciale puissent se faire former en utilisant leurs fonds de formation propres” - une piste qui s'inscrit parmi les 10 recommandations du CMCV. Les managers de centre-ville doivent cependant aborder l'ensemble des problĂ©matiques urbaines, au delĂ  d'une perspective strictement commerçante. C'est pourquoi, selon Robert Martin, prĂ©sident du CMCV, la mutualisation du poste de manager entre une collectivitĂ© et la CCI n'est pas souhaitable de nombreux exemples peu concluants d'une telle mutualisation prouvent que le dĂ©calage de responsabilitĂ© et de mise en action, dans le cas d'une gouvernance binaire, est trop important. Passer du manager au dĂ©veloppeur Pour Patrick Vignal, prĂ©sident de l'association Centre-Ville en mouvement et dĂ©putĂ© de l'HĂ©rault lire notre interview, il y a urgence Ă  transformer le rĂŽle de manager en celui de dĂ©veloppeur. En d'autres termes passer de l'animation - d'inspiration associative - Ă  la supervision - plutĂŽt inspirĂ©e du manager de centre commercial, issu des milieux du marketing et du “retail”. Cette Ă©volution de la profession passe selon lui par la combinaison de trois compĂ©tences le savoir-faire d'un urbaniste, afin de dialoguer avec les collectivitĂ©s, celui d'un financier, pour ĂȘtre en mesure d'attirer des franchises de rayonnement mĂ©tropolitain ou de capter des financements europĂ©ens, et enfin celui d'un sociologue, Ă  mĂȘme de “crĂ©er un discours qui attire en ville”. Pour autant, Patrick Vignal ne rĂ©fute pas le caractĂšre essentiellement collĂ©gial du dĂ©veloppement des centres-villes il revient au dĂ©veloppeur de centre-ville de faire le lien entre les acteurs de sa revitalisation. En ce sens, le poste peut tout Ă  fait ĂȘtre mutualisĂ© entre plusieurs centres-bourgs, voir Ă  l'Ă©chelle d'un dĂ©partement ou d'une rĂ©gion, par exemple avec la CCI. Des parcours de formation dĂ©diĂ©es attendus dans les prochains mois Le CMCV projette l'ouverture, dĂšs la rentrĂ©e 2018, d'un programme de formation aux mĂ©tiers du management de centre-ville, dĂ©clinĂ© selon les trois profils dĂ©crits ci-dessus. Cette formation, fruit d'un partenariat avec le Conservatoire national des arts et mĂ©tiers le Cnam, sera assurĂ©e par des experts ayant dĂ©jĂ  dĂ©veloppĂ© une pratique opĂ©rationnelle, sur le format de cours du soir, en ciblant chaque annĂ©e 20 Ă  25 futurs managers. Ces derniers pourront ĂȘtre recrutĂ©s sur la base d'une formation ou d'une expĂ©rience en urbanisme, en immobilier, ou bien dans les mondes du commerce et de la grande distribution. Le programme initial, dispensĂ© Ă  Paris, pourrait ĂȘtre dĂ©clinĂ© avec des formations courtes dans les antennes du rĂ©seau Cnam. ParallĂšlement, l'association Centre-Ville en mouvement prĂ©voit d'initier dĂ©but 2019 une formation professionnelle avec les facultĂ©s de Montpellier et de Caen. La maquette des cours - encore en cours d'Ă©laboration par des professionnels - a prĂ©cisĂ©ment vocation Ă  combiner les compĂ©tences clĂ©s de l'urbanisme, de la finance et de la sociologie. Auniveau des espaces, la corrĂ©lation habituelle entre une classe de 5e A avec une piĂšce de 50 m2 qui ferait office de salle de classe quotidienne n’existe donc pas. Nous avons alors Ă©laborĂ© une proposition mettant en avant un grand hall qui permettrait d’organiser des activitĂ©s festives. C’est un lieu en plus, pour lequel on a poussĂ© les murs et surtout pour lequel NĂ© dans les annĂ©es 1970 aux Etats-Unis, le concept d’intrapreneuriat permet Ă  des salariĂ©s de dĂ©velopper des projets innovants de façon autonome Ă  la maniĂšre d’une start-up, Ă  l’intĂ©rieur mĂȘme de leur organisation. Une dĂ©marche au succĂšs croissant, particuliĂšrement propice Ă  l’émergence de solutions neuves face aux dĂ©fis urbains d’aujourd’hui et de demain. Paroles et portraits des cinq intrapreneurs invitĂ©es au festival Building Beyond de LeonardParis. Ils sont cinq, ĂągĂ©s de 26 Ă  45 ans. Un fonctionnaire et quatre salariĂ©es, tous invitĂ©s par Leonard dans le cadre du festival Building Beyond pour Ă©voquer leur passage Ă  l’intrapreneuriat Matthieu Heurtel, startuper d’Etat et ancien membre du MinistĂšre de la CohĂ©sion des Territoires, Damien Bahon, SĂ©bastien Magat et Alice BlouĂ«t, intrapreneurs VINCI Ă  LeonardParis, et AurĂ©lien Schwartz, intrapreneur d’EDF Nouveaux Business. Leur point commun chacune a identifiĂ© un besoin en mal de solution et a proposĂ© Ă  son employeur de se lancer dans le dĂ©veloppement d’un outil innovant pour y rĂ©pondre. Mais plutĂŽt que de travailler Ă  leur projet dans une structure hiĂ©rarchique traditionnelle, ils ont Ă©tĂ© dĂ©tachĂ©s afin de dĂ©velopper leur outil en toute autonomie, Ă  la maniĂšre d’une start-up. Ce modĂšle de fonctionnement agile, qui libĂšre l’imagination et la crĂ©ativitĂ© des salariĂ©s-entrepreneurs, pourrait façonner une partie des solutions aux dĂ©fis des villes de demain. Retrouvez l’intĂ©gralitĂ© de notre confĂ©rence en vidĂ©o Un nĂ©cessaire dĂ©passement de fonction Quand vous vous lancez dans l’intrapreneuriat, vous devenez du jour au lendemain manager gĂ©nĂ©ral, directeur des opĂ©rations, DRH et directeur de la communication, explique Alice BlouĂ«t, qui travaille sur Concreative, une solution d’impression de bĂ©ton en 3D destinĂ©e dans un premier temps aux futurs chantiers de DubaĂŻ. Il faut ĂȘtre prĂȘt Ă  se multiplier et Ă  dĂ©passer la fonction de simple chef de projet car vous ĂȘtes souvent toute seule. » Comme une vingtaine de collaborateurs du groupe VINCI, Alice BlouĂ«t porte son projet de façon autonome au sein, avec l’appui de Leonard, la plate-forme de prospective et d’innovation du Groupe.. AprĂšs la phase d’incubation, la solution qu’elle dĂ©veloppe est appelĂ©e Ă  connaĂźtre une pĂ©riode dite d’accĂ©lĂ©ration avant de dĂ©boucher sur la crĂ©ation d’une nouvelle activitĂ© prometteuse au sein du groupe VINCI liĂ©e Ă  l’impression 3D de bĂ©ton. Du diagnostic design Ă  la livraison en passant par l’impression proprement dite et l’assemblage, Concreative peut ĂȘtre une solution d’avenir pour les chantiers de demain », conclut Alice BlouĂ«t. Autre intrapreneur VINCI, Damien Bahon travaille sur Rehalib, une application en rĂ©alitĂ© augmentĂ©e qui pourrait bousculer l’approche des projets de rĂ©novations d’habitat. L’objectif de notre logiciel est de donner Ă  l’ensemble des acteurs la possibilitĂ© de voir comment le logement peut Ă©voluer et d’interagir grĂące Ă  la rĂ©alitĂ© augmentĂ©e, prĂ©sente Damien Bahon. Aujourd’hui, les opĂ©rations de rĂ©novation urbaine sont souvent tenues Ă  l’écart des derniĂšres innovations car elles ne sont pas rĂ©alisĂ©es Ă  partir de maquettes 3D, jugĂ©es coĂ»teuses et chronophages. GrĂące Ă  notre outil, les amĂ©nageurs, les architectes et les citoyens pourront visualiser et dĂ©cider ensemble Ă  quoi ressemblera leur futur quartier. » LĂącher du lest pour gagner en crĂ©ativitĂ© C’est aussi dans ce cadre flexible et autonome qu’AurĂ©lien Schwartz, chez EDF, et Matthieu Heurtel, au sein du MinistĂšre de la CohĂ©sion des territoires, ont bĂ©nĂ©ficie du temps et du soutien nĂ©cessaires pour dĂ©velopper des applications innovantes. AurĂ©lien Schwartz a créé avec deux collĂšgues Metroscope, un logiciel de diagnostic destinĂ© Ă  faciliter la maintenance industrielle, tandis que Matthieu Heurtel travaille avec des dĂ©veloppeurs sur Locatio, un outil en ligne imaginĂ© pour rĂ©tablir la confiance entre locataires et propriĂ©taires. Notre projet progresse car l’Etat a acceptĂ© de lĂącher du lest et de nous laisser travailler Ă  notre rythme comme intrapreneurs en entiĂšre responsabilitĂ© », assure Matthieu Heurtel. L’objectif des intrapreneurs est bien sĂ»r d’aboutir in fine Ă  la crĂ©ation d’une vĂ©ritable business unit ou d’une start-up dont ils Ă©pouseraient l’activitĂ© en mĂȘme temps que le fonctionnement. Le Metroscope d’AurĂ©lien Schwartz est aujourd’hui une filiale Ă  100 % d’EDF ; elle a doublĂ© son nombre de collaborateurs depuis le dĂ©but de l’annĂ©e. AprĂšs avoir dĂ©veloppĂ© AVUS, une plateforme numĂ©rique de maintenance des rĂ©seaux souterrains pendant 6 mois au sein du programme de Leonard, SĂ©bastien Magat s’apprĂȘte quant Ă  lui Ă  tester son outil sur le terrain dans l’est de l’Angleterre. La derniĂšre ligne droite de sa vie d’intrapreneur. Avec succĂšs ou pas, une belle montĂ©e en compĂ©tences et l’expĂ©rimentation d’un certain culot. 1 Acquisition de connaissances. Objectifs: transmettre des rĂ©fĂ©rences pour comprendre les enjeux de la COP 21. Supports pĂ©dagogiques : MĂ©mory, livret-jeu, visite d'exposition. 2/ RĂ©flexion collective sur la ville durable de demain.

Quelle distribution horaire? Chaque collĂšgue anime une partie des heures dans sa discipline, quelques sĂ©ances sont conjointement animĂ©es, en particulier pour la prĂ©sentation, pour dĂ©finir les attendus de la rĂ©alisation finale et faire un bilan de l’action. Le projet s’est dĂ©roulĂ© sur environ un mois, selon le dĂ©coupage horaire suivant - GĂ©ographie 10 h - Si 14 h En raison des contraintes horaires, une part du travail concernant les posters et autres rĂ©alisations graphiques a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par les Ă©lĂšves sur leur temps libre. Les logiciels choisis sont presque tous gratuits pour nos Ă©lĂšves, leur permettant de travailler chez eux. Quelle dĂ©marche pour quels objectifs? Le projet vise une implication citoyenne dans une dĂ©marche de dĂ©veloppement durable et de dĂ©veloppement personnel pour les Ă©lĂšves qui deviennent rĂ©ellement acteurs de leur formation, rĂ©investissant connaissances et compĂ©tences dĂ©veloppĂ©es en groupes de 3 Ă  4 Ă©lĂšves et en classe entiĂšre. L’épreuve du baccalaurĂ©at en STI2D est un projet et compte pour environ 70% de la note ; en termes de mĂ©thode, les Ă©lĂšves ont alors un premier contact avec l’apprentissage de la gestion de projet. Le projet permet de travailler le changement d’échelle en passant du quartier Ă  la ville durable, en Ă©changeant autour des problĂ©matiques de l’un ou de l’autre les groupes hors option travaillent sur la ville, les groupes d’option SI travaillent sur l’écoquartier. A travers l’approche multi scalaire, du quartier Ă  l’agglomĂ©ration, ils analysent et tĂąchent de rĂ©pondre Ă  la problĂ©matique Comment concevoir et amĂ©nager un Ă©coquartier ou une ville durable en tenant compte des logiques du dĂ©veloppement durable ? » En SI, ils dĂ©couvrent des Ă©coquartiers actuels en GĂ©ographie Bedzed- en SI, FrĂ©quel- Fontarabie, font des recherches sur des Ă©coquartiers futuristes et travaillent sur les contraintes Ă  prendre en compte. Ils cherchent des rĂ©ponses aux problĂšmes posĂ©s par les professeurs, pour concevoir une charte de l’écoquartier ou ville. En effet, les Ă©coquartiers doivent ĂȘtre conçus sur un terrain proche du lycĂ©e, prĂ©sentant des caractĂ©ristiques prĂ©cises auxquelles les Ă©lĂšves doivent s’adapter voir capture GĂ©oportail ci-dessous. Puis, ils organisent leur travail en fonction des objectifs dĂ©finis dans un cahier des charges du projet pour rĂ©pondre Ă  la charte mise en place. Cf. Fiche d’activitĂ© 1 SI. Cette tĂąche est simplifiĂ©e, les classes ayant dĂ©jĂ  traitĂ© en GĂ©ographie le thĂšme introductif Du dĂ©veloppement au dĂ©veloppement durable » ainsi que les thĂšmes sur l’enjeu de la ressource en eau et l’enjeu Ă©nergĂ©tique. Le projet rĂ©investit ainsi immĂ©diatement les connaissances des Ă©lĂšves. En introduction, les Ă©lĂšves ont prĂ©alablement identifiĂ© les enjeux du dĂ©veloppement durable Ă  de multiples Ă©chelles et en fonction de documents de nature diffĂ©rente. Deux Ă©tudes de cas ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, l’une dans un PED, l’autre dans un pays dĂ©veloppĂ©. De plus, les deux classes ont Ă©tudiĂ© des villes futuristes dont l’aboutissement est compromis ou abandonnĂ©, notamment parce que les piliers Ă©conomiques et sociaux ne sont pas dĂ©veloppĂ©s Dongtan, Masdar, celles-ci ne pouvant donc ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme rĂ©pondant Ă  la dĂ©finition de ville durable. La confrontation des Ă©tudes de cas et la mise en perspective ont permis d’apprĂ©hender les apports thĂ©oriques nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation du projet. Ainsi, les Ă©lĂšves doivent pointer les Ă©quilibres et dĂ©sĂ©quilibres entre les piliers du dĂ©veloppement durable pour envisager une logique de dĂ©veloppement durable qui soit satisfaisante pour leur ville ou Ă©coquartier.

LaFĂȘte de la Moisson revient Ă  Provins pour sa 50e Ă©dition avec le meilleur de ces 50 derniĂšres annĂ©es, ce dimanche 28 aoĂ»t 2022. Cette manifestation, unique en France, se dĂ©roule comme Ă  Le titulaire de cette MC est un technicien qui rĂ©alise des maquettes ou des prototypes pour l'industrie, l'architecture, l'urbanisme, les expositions ou les musĂ©es. Dans le secteur industriel, il peut travailler pour l'automobile, l'aĂ©ronautique, la construction navale, l'Ă©lectromĂ©nager
Il connaĂźt bien les matĂ©riaux mĂ©taux, plĂątre, argile, bois, matiĂšres synthĂ©tiques rĂ©sines notamment. Il maĂźtrise Ă©galement les techniques d'usinage, de formage, d'assemblage et de finition usinage sur machines conventionnelles ou Ă  commande numĂ©rique, prototypage rapide, moulage, dĂ©coupage, pliage
Il exerce diverses activitĂ©s. Lors de la prĂ©paration du travail, il analyse les documents plans, croquis, photos
 fournis par le bureau d'Ă©tudes ou le donneur d'ordres. Il dĂ©termine la suite des opĂ©rations Ă  effectuer, choisit les matĂ©riaux, organise les approvisionnements, prend contact avec le sous-traitant Ă©ventuel. Pendant la fabrication des Ă©lĂ©ments, il rĂ©alise les Ă©lĂ©ments constitutifs de la maquette ou du prototype, manuellement ou par usinage sur machine. Il contrĂŽle leur forme et leurs dimensions. En phase de montage-assemblage, il monte, assemble et fixe les Ă©lĂ©ments obtenus. Il vĂ©rifie la conformitĂ© de l'ensemble au cahier des charges. Enfin, il assure la finition de la maquette ou du prototype, applique le revĂȘtement et les dĂ©corations, effectue les contrĂŽles finaux.
Àpartir d'un contenu iconographique illustrant des projets (existants ou utopiques) d'initiatives architecturales en phase avec la nature, les participants seront invitĂ©s Ă  rĂȘver la ville de demain et Ă  la rĂ©aliser en maquette. L'objectif de l'atelier est d'investir toutes les dimensions de l'espace urbain: dessins au sol et sur les murs Ă  la craie, vĂ©gĂ©talisation des surfaces
En sortant de l’institut Image, l’école d’ingĂ©nieurs Arts et MĂ©tiers de Chalon-sur-SaĂŽne SaĂŽne-et-Loire, avec une spĂ©cialitĂ© rĂ©alitĂ© virtuelle et rĂ©alitĂ© augmentĂ©e en 2018, Louis Jeannin et Nicolas Caligiuri se sont lancĂ©s sur le projet Foxar. "Nous voulions un projet utile pour la sociĂ©tĂ© qui ait aussi du sens pour nous. Nous avons donc imaginĂ© une bibliothĂšque d’illustrations pĂ©dagogiques en rĂ©alitĂ© augmentĂ©e pour que les domaines scolaires trop abstraits deviennent plus concrets", explique Louis Jeannin. Co-dĂ©veloppĂ© avec des enseignants L’entreprise Foxar a vu le jour en juillet 2020. Disponible sur tablette IOS et bientĂŽt AndroĂŻd, l’application utilise les outils de rĂ©alitĂ© augmentĂ©e ARKit d’Apple et ARCore de google pour que ses maquettes pĂ©dagogiques 3D facilite la comprĂ©hension de certaines matiĂšres. "Nous mettons notre version bĂȘta Ă  disposition de tous les enseignants qui le souhaitent pour faire encore Ă©voluer nos modules", poursuit l'ingĂ©nieur. Des planĂštes Ă  l’échelle Ă  l’agencement des molĂ©cules d’eau en physique, des cartes en gĂ©ographie, mais aussi les fractions et la conversion des volumes en mathĂ©matiques se veulent ainsi plus fidĂšles que des outils en deux dimensions. "La majoritĂ© des Ă©lĂšves peine Ă  transposer les illustrations classiques en 3D. Cette visualisation plus facile et ludique permet aux Ă©lĂšves en difficultĂ©s de rattraper leur retard." Co-construite avec une cinquantaine d’enseignants de tous horizons qui ont testĂ© et validĂ© les contenus existants, l’application se destine Ă  tous les niveaux scolaires, de la primaire au lycĂ©e. En parallĂšle de leurs compĂ©tences, Foxar a engagĂ© une doctorante en ergonomie cognitive et psychologue dont le rĂŽle est d’amĂ©liorer l’ergonomie et l’efficacitĂ© des maquettes pĂ©dagogiques. Au service de la formation professionnelle RĂ©compensĂ©e par le programme d’open innovation du Groupe La Poste dans les services connectĂ©s, French IoT, ainsi que du concours organisĂ© par le village francophone parmi les startups EdTech, Foxar prĂ©voit de lancer une levĂ©e de fonds en fin d’annĂ©e et de recruter plusieurs collaborateurs. Pour l’heure, afin de financer le dĂ©veloppement de son application destinĂ©e Ă  l’Education Nationale, Foxar s’est mise au service de la formation professionnelle. "Nous avons par exemple créé une maquette pĂ©dagogique pour l’UIMM de Dijon / Chalon-sur-SaĂŽne sur l’usinage et une autre pour Enedis qui vise Ă  former les techniciens sur les systĂšmes et tableaux Ă©lectriques qu’ils doivent utiliser", dĂ©taille Louis Jeannin. La start-up travaille actuellement sur une maquette destinĂ©e Ă  la MutualitĂ© Française autour des risques en matiĂšre de santĂ© environnementale.
InstructionsVous aurez besoin de boites en carton de taille diffĂ©rentes, de tubes de papier toilette, de papier blanc en rouleau (ou du papier kraft), et beaucoup d’imagination !
Photo Christophe Simon, AFP L'architecte espagnol Santiago Pevsner Calatrava Vall prĂ©sente les plans du futur musĂ©e. L'architecte espagnol Santiago Pevsner Calatrava Vall a prĂ©sentĂ© pour la premiĂšre fois mercredi Ă  Rio sa maquette du Museu do Amanhã» MusĂ©e de Demain» en construction dans la zone portuaire de la ville en cours de rĂ©novation, un projet de conception Ă©cologique. On voulait pouvoir faire des jardins et une promenade architecturale autour du musĂ©e qui sera un leçon d'Ă©cologie, comme filtrer l'eau de la baie des bassins» sur les cĂŽtĂ©s, a dĂ©clarĂ© M. Calatrava en prĂ©sentant ce musĂ©e scientifique qui doit ĂȘtre inaugurĂ© en 2014. Le musĂ©e n'est pas seulement un objet, il est la ville. Le paysage devient un Ă©lĂ©ment fondamental. Il fallait que l'on voie le monastĂšre de Sao Bento du 17 siĂšcle; il fallait que le bĂątiment soit horizontal», a soulignĂ© l'architecte. Sur le toit, de grandes structures en acier, qui bougent comme des ailes, serviront pour capter l'Ă©nergie solaire. Ce musĂ©e, le premier Ă  traiter des possibilitĂ©s de construction de l'avenir, conduira le public Ă  rĂ©flĂ©chir sur l'impact de ses actions sur la planĂšte, a expliquĂ© de son cĂŽtĂ© le physicien Luiz Alberto de Oliveira, responsable du contenu du MusĂ©e qui a comme partenaires comme celui de la Villette Paris ou les amĂ©ricains Smithsonian Institute et California Academy of Sciences. Le musĂ©e sera un outil Ă©ducatif sur nos actions d'aujourd'hui qui construiront le monde de demain, sur comment vivrons-nous en 2050 quand nous serons 9 milliards», a encore soulignĂ© M. de Oliveira. Le musĂ©e est construit sur une jetĂ©e, au milieu d'une grande zone verte de 30 000 m2 avec des jardins, des bassins, une piste cyclable et une aire de loisirs. Le bĂątiment fera 15 000 m2. L'eau de la baie de Rio sera utilisĂ©e Ă©galement pour la climatisation de l'intĂ©rieur du musĂ©e. La construction du musĂ©e fait partie d'un ensemble de grands travaux entrepris par la mairie en vue de la modernisation de la ville Ă  l'occasion du Mondial de football de 2014 et des Jeux olympiques de 2016. Les travaux de quelque 4,2 milliards de dollars sont financĂ©s par le plus important partenariat public-privĂ© du BrĂ©sil. Le coĂ»t du musĂ©e est estimĂ© Ă  215 millions de reais 112 millions de dollars.
Propositionde maquette pĂ©dagogique de l’École de Chaillot. Pour 4 modules complĂ©mentaires Ă  la carte . Formation des Chefs de projet Petites Villes de Demain « R. evitalisation d. es petites villes Patrimoniales » Certification École de Chaillot / Petites Villes de Demain - formation continue. Exemple de l’une des 100 villes du corpus Petites Villes de Demain Ă©tudiĂ©e par l
Niveau d'Ă©tude visĂ©BAC +5 et plus PrĂ©sentationOrganisationProgrammeAdmissionEt aprĂšsPrĂ©sentationPrĂ©sentation de la Mention Urbanisme et AmĂ©nagementAssociant les savoirs de l’Architecture, de l’Urbanisme et des Sciences, cette formation occupe actuellement un crĂ©neau original et se situe comme une offre nouvelle et vivement encouragĂ©e par plusieurs Ă©tablissements SGP, MĂ©tropole du Grand Paris, APUR, Fondation AIA, Resallience,etc... Cette mention, Ă  vocation internationale prĂ©voit la participation de l’École d’Architecture et du Paysage de Casablanca EAC. La mention vise Ă  orienter ses formations vers les mĂ©tiers de l’Urbanisme et de l’AmĂ©nagement tels qu’ils sont en train d’évoluer actuellement, selon deux directions principales l’approche Ă©co soutenable, l’innovation urbaine et Ă©cologique dans la planification, dans le projet urbain et dans les mobilitĂ©s. Cette offre implique les Sciences de la Terre, les Sciences Humaines et Sociales et les Sciences de l’Architecture. Le parcours SPMVD offre une formation tournĂ©e vers l’amĂ©nagement et l’urbanisme, la planification, le projet, les mobilitĂ©s urbaines Ă  travers une large palette d’enseignements et d’activitĂ©s totalement renouvelĂ©s. Comment penser la ville de demain Smart City », Knowledge City », Eco City » et quelles sont les conditions de sa mise en Ɠuvre ? Comment faire Ă©voluer les conceptions, les outils, les modes d’actions et comment rĂ©adapter les pratiques de l’urbanisme Ă  l’aune des innovations technologiques et de l’écodĂ©veloppement ?La finalitĂ© du parcours SPMVD est de former des urbanistes spĂ©cialisĂ©s tant dans la mise en place d’un plan stratĂ©gique, Ă  grande Ă©chelle, que dans la conception et le montage d’une opĂ©ration d’amĂ©nagement complexe et plusDimension internationaleDes passerelles sont prĂ©vues, sur proposition du jury de mention, permettant Ă  7 Ă©tudiants rĂ©guliĂšrement inscrits dans chaque Ă©tablissement EAC et SU de choisir de passer d’un Master Ă  l’autre et de suivre ainsi la formation dans le pays de l’autre Ă©tablissement Ă  Casablanca pour le Master VHDD et Ă  Paris pour le Master SPMVD.La mobilitĂ© Ă©tudiante figure, par ailleurs, au nombre des prioritĂ©s de Sorbonne UniversitĂ©. Que les Ă©tudiantes et Ă©tudiants puissent accomplir un sĂ©jour dans une universitĂ© Ă©trangĂšre fait partie intĂ©grante de leur formation. Pour plus d'informations plusOrganisationAmĂ©nagements particuliersLieux d'enseignements Institut de gĂ©ographie 191 rue Saint Jacques, 75005 ParisÉcole d’Architecture et du Paysage de Casablanca Angle Bd. Abou Hanifa Al NoĂąman et Tarik Al Kheir - Sidi Bernoussi 20 610 – Casablancaet Campus Pierre et Marie Curie - 4 place Jussieu 75005 ParisLire plusProgrammeL’offre de formation de la mention Urbanisme et AmĂ©nagement » professionnel et recherche est structurĂ©e autour d’un Tronc Commun, en Master 1 en S1 et en S2- UE1 et UE2, qui constitue le socle de la formation en Urbanisme, avec des enseignements fondamentaux croisant les savoirs de l’Urbanisme, de l’Architecture et des Sciences et de deux parcours de spĂ©cialisation le Master StratĂ©gies, Projets, MobilitĂ©s dans la ville de demain SPMVD », portĂ© par SU et le Master Ville hĂ©ritĂ©e et dĂ©veloppement durable » VHDD, portĂ© par l’EAC .L’annĂ©e du Master 1 est commune aux voies Recherche » et Pro » et tous les enseignements sont formation compte en tout 1245 HTD, soit 1045 heures en prĂ©sentiel. Le Tronc Commun compte 650 HTD 510 heures en prĂ©sentiel et les parcours de spĂ©cialisations, Master SPMVD et Master VHDD, 595 HTD 535 heures en prĂ©sentiel. Lire plusSĂ©lectionnez un programmeM1 Urbanisme et amĂ©nagement StratĂ©gies, projets, mobilitĂ©s dans villes SPMVDParcoursM2 URBA StratĂ©gies, projets, mobilitĂ©s dans villes SPMVDParcoursAdmissionConditions d'accĂšsTitulaire d'une licence ou formation Ă©quivalente diplĂŽme d’architecte, ingĂ©nieur, diplĂŽmĂ© de Sciences Politiques etc... D'autres profils peuvent potentiellement ĂȘtre concernĂ©s selon la qualitĂ© du dossier etla motivation du candidat.*AccĂšs en formation initiale Plus d'informations auprĂšs du service des inscriptions administratives en formation continue / 01 53 42 30 plusPrĂ©-requisLe recrutement tiendra compte des rĂ©sultats dans les Ă©tudes antĂ©rieures, des connaissances et des compĂ©tences Ă©ventuellement acquises Ă  travers des stages dans les domaines de la plusEt aprĂšsInsertion professionnelleLe titulaire de ce diplĂŽme peut exercer son activitĂ© en qualitĂ© d’urbaniste et amĂ©nageur auprĂšs de bureaux d’études, dans la promotion immobiliĂšre, dans les collectivitĂ©s locales, dans les SEM SociĂ©tĂ© d’Economie Mixte et comme urbaniste Master UA dispose d’un rĂ©seau de partenaires privĂ©s et publics Ă©toffĂ©. L’association Urbam’s Alumni regroupe les anciens Ă©lĂšves de l'Institut d’AmĂ©nagement et d’Urbanisme de l’UniversitĂ© de Paris-Sorbonne, le plus ancien de France environ 800 inscrits. Soucieuse de l’insertion professionnelle des Ă©tudiants et diplĂŽmĂ©s de sa branche, l’association travaille beaucoup Ă  la crĂ©ation et au maintien d’un rĂ©seau solide et solidaire entre ses diplĂŽmĂ©s et les Ă©tudiants. Le taux d’insertion professionnel est de 90%. La formation s’appuie aussi sur un rĂ©seau dense de partenaires extĂ©rieurs AMF Association Maires de France, AREP, EMBIX, Fondation AIA, RESALLIENCE VINCI, SGP SociĂ©tĂ© du Grand Paris, MGP MĂ©tropole du Grand Paris, etc..Plus d'informations L’Observatoire de l’Insertion Professionnelle et des Parcours rĂ©alise chaque annĂ©e des enquĂȘtes sur les mĂ©tiers exercĂ©s par les anciens diplĂŽmĂ©es et diplĂŽmĂ©s de la FacultĂ© des Lettres de Sorbonne UniversitĂ© plus
Toulouse 2030» est une exposition autour des thĂšmes de l'architecture et de l'urbanisme. L'Ă©vĂ©nement est ouvert au public jusqu'Ă  dimanche, place du Capitole. L'objectif est de montrer Participer DĂšs aujourd’hui La maison du projet Le quartier de demain Ă  portĂ©e de main Ouverte Ă  tous, la Maison du Projet Gratte-Ciel centre-ville est la vitrine du projet urbain. Chacun, particulier comme professionnel, y est le bienvenu pour dĂ©couvrir et suivre l’évolution du projet. Depuis son ouverture en janvier 2017, elle reçoit en moyenne 200 visiteurs par mois. Ses vocations sont multiples informer le public sur le projet et ses avancĂ©es, accueillir des Ă©lĂšves pour une dĂ©couverte pĂ©dagogique du quartier de demain, recevoir les habitants pour la concertation ou des dĂ©lĂ©gations en visite et hĂ©berger, au plus prĂšs du terrain, les rĂ©unions techniques entre acteurs du projet 
 Maquette Une maquette rĂ©alisĂ©e au 1/500e aide les visiteurs Ă  se projeter dans le quartier de demain. Elle permet de suivre l’avancĂ©e du projet au fil des nouvelles constructions, la maquette est actualisĂ©e pour crĂ©er une rĂ©plique au plus prĂšs de la rĂ©alitĂ©. La maison du projet La Maison du Projet se trouve 17, Rue LĂ©on-Chomel, au coeur du quartier. Heures d’ouverture au public Mercredi / Vendredi / Samedi De 10h00 Ă  12h00 et de 13h00 Ă  19h00 Accueil tĂ©lĂ©phonique aux mĂȘmes horaires 04 78 84 15 13 Pour un accueil de groupe, vous avez la possibilitĂ© de rĂ©server un crĂ©neau de visite gratuit Expositions & confĂ©rences Une exposition propose une mise en perspective entre le quartier historique des Gratte-Ciel et le projet en cours de rĂ©alisation. Pour mieux comprendre les grandes ambitions du projet urbain, des visites guidĂ©es et des confĂ©rences thĂ©matiques sont rĂ©guliĂšrement organisĂ©es. Un coin bibliothĂšque, associĂ© Ă  un petit salon de lecture et Ă  un poste de consultation numĂ©rique, permet aux visiteurs d’approfondir cette dĂ©couverte du quartier. Toujours prĂ©sente sur les lieux, Éloise Vanhouteghem, notre mĂ©diatrice, pourra Ă©galement vous renseigner et rĂ©pondre Ă  vos questions. OCCUPATION TEMPORAIRE Un laboratoire Ă  ciel ouvert pour s’exprimer ! Sur un projet d’une telle ampleur, la gestion des chantiers implique que certaines parties du site restent vacantes sur des temps plus ou moins longs. Alors que le foncier est une ressource prĂ©cieuse en centre-ville, choisir d’occuper ces lieux inexploitĂ©s, mĂȘme sur une courte pĂ©riode, prĂ©sente de nombreux avantages. Au-delĂ  du principe de rendre ces lieux accessibles et de contribuer Ă  l’animation du centre-ville, l’objectif Ă  plus long terme est de faire Ă©merger un projet urbain conçu sur-mesure et qui rĂ©pond aux besoins des usagers. Nouveau laboratoire de la fabrique urbaine, l’occupation temporaire du projet Gratte-Ciel centre-ville durera jusqu’en aoĂ»t 2023 et reprĂ©sente un terrain d’expĂ©rimentation d’environ 7 000 mÂČ. Une occasion unique pour tester, expĂ©rimenter, divertir, mais surtout, inventer et co-construire ensemble le futur quartier. Occupation continue Des projets structurants sur le temps long Un appel Ă  projets a Ă©tĂ© lancĂ© en septembre 2019 pour occuper et animer temporairement le site sur le temps long du chantier. Quatre laurĂ©ats, prĂ©curseurs de la ville de demain et en adĂ©quation avec les ambitions de Gratte-Ciel centre-ville, ont Ă©tĂ© retenus. Nature en ville, chantiers participatifs, vivre-ensemble, artisanat
 les thĂ©matiques proposĂ©s par ces quatre occupants continus prĂ©figurent l’identitĂ© du quartier de demain. Projets Ă©phĂ©mĂšres Des Ă©vĂ©nements ponctuels pour animer le quartier et rythmer la programmation ConfĂ©rences, ateliers de co-construction de mobiliers, ateliers de concertation, balades urbaines, expositions, concerts et projections de film
 rythmeront Ă©galement la vie de l’occupation temporaire. Si expĂ©rimenter est sa mission principale, divertir n’en reste pas moins primordial ! PrĂ©voyez votre pause dĂ©jeuner dans son espace dĂ©tente, laissez-vous surprendre par une animation en fin de journĂ©e, ou programmez votre soirĂ©e festive au Laboratoire ExtĂ©rieur des Gratte-Ciel. Les conditions sont rĂ©unies pour que le temps du chantier ne soit plus une contrainte, mais une opportunitĂ© de vivre et construire la ville autrement. Concertation & Co-conception Un centre-ville qui se construit collectivement Construire le prolongement d’un centre-ville est une opportunitĂ© unique en France. Mais face Ă  une identitĂ© et une histoire aussi fortes, les dĂ©fis sont nombreux respecter l’ñme du site sans la pasticher, construire une filiation avec le passĂ© tout en rĂ©pondant aux enjeux sociĂ©taux et environnementaux de demain. C’est le partage des expertises de chacun, de l’usager au professionnel, qui permet de construire un projet riche et pertinent. Gratte-Ciel centre-ville s’appuie donc sur une dĂ©marche de participation et de concertation qui invite chacun Ă  s’exprimer et contribuer Ă  l’élaboration du projet. Concertation La concertation avec la population est ancrĂ©e dans l’ADN du projet. DĂšs 2008 une premiĂšre saison de consultation a Ă©tĂ© lancĂ©e et, depuis, ces rendez-vous rythment le projet. RĂ©unions publiques, ateliers thĂ©matiques
 À chaque Ă©tape de sa mise en Ɠuvre, de nombreux Ă©vĂ©nements permettent Ă  chacun de s’informer et de prendre part au dĂ©bat. Les habitants et usagers sont particuliĂšrement sollicitĂ©s sur trois grandes thĂ©matiques, dĂ©finies elles aussi dans la concertation Vivre les espaces publics Habiter le futur quartier des Gratte-Ciel Transformer le temps long du chantier en opportunitĂ©s Parce que la dĂ©marche se veut rĂ©solument inclusive, les enfants ont Ă©galement participĂ© Ă  la conception du nouveau groupe scolaire Rosa-Parks. Pendant deux mois, courant 2018, les Ă©lĂšves et leurs enseignants ont ainsi pu Ă©changer, dialoguer et travailler autour de leurs souhaits d’amĂ©nagements futurs, guidĂ©s et accompagnĂ©s par les acteurs du projet. Ateliers de co-conception DĂ©cloisonner et faire dialoguer les compĂ©tences et expertises. C’est l’objectif des ateliers de co-conception qui rĂ©unissent rĂ©guliĂšrement les acteurs du projet, mobilisant jusqu’à cinquante personnes lors de journĂ©es dĂ©diĂ©es. MĂ©tropole de Lyon, Mairie de Villeurbanne, amĂ©nageur, architectes, promoteurs immobiliers
 un groupe de suivi se mobilise lors des principales Ă©tapes du projet pour travailler collectivement et prendre en compte les intĂ©rĂȘts diversifiĂ©s dans la dĂ©finition du nouveau quartier. L’objectif partager une culture commune autour du projet, affiner et avancer de concert sur les diffĂ©rentes thĂ©matiques du projet urbain.

dedresser un aperçu du portrait de la smart city en ville de taille moyenne et de donner des clés pour élaborer une démarche de ville intelligente. méthode, stratégie, statistiques, enjeux, impacts et portraits de territoires sont passés à la loupe. un manque de confiance persiste vis-à-vis de ces technologies du

54 % de la population mondiale vit actuellement en zone urbaine. En 2050, cette part aura dĂ©passĂ© les 65 %*. La ville est manifestement l’espace de vie de demain et il faut l’organiser de façon Ă  ne pas finir Ă©touffĂ© par la concentration dĂ©mographique. C’est pourquoi de nombreux mĂ©tiers travaillent Ă  concevoir et mettre sur pied les bĂątiments, quartiers et villes intelligentes du futur. Certains sont nĂ©s d’une nouvelle technologie issue de la construction et conquiert peu Ă  peu d’autres secteurs. D’autres, dĂ©jĂ  existants, mutent pour s’adapter aux nouveaux besoins d’habitants en quĂȘte de plus de proximitĂ©. Tous sont sans conteste des filiĂšres d’avenir. De quoi crĂ©er quelques vocations. Auditeur BIM et BIM manager des jeunes mĂ©tiers inspirĂ©s du bĂątimentAu cƓur des chantiers de villes et quartiers intelligents, la technologie du Building Information Modeling BIM rĂ©volutionne les maniĂšres de mener un projet. Cette maquette numĂ©rique dĂ©taillĂ©e et collaborative permet Ă  tous les acteurs d’un projet de l’électricien au client final, de pouvoir modifier en temps rĂ©el une vue 3D pour visualiser le bĂątiment ou le quartier en cours de conception. Une sorte de chantier virtuel avant les vrais travaux. Vu l’importance de cette technologie, des prestataires et de nouveaux mĂ©tiers sont nĂ©s autour de sa maĂźtrise. C’est le cas chez NextGen Village, une entreprise chez qui l’on peut trouver des auditeurs BIM. Ces professionnels accompagnent entreprises et acteurs publics dans leur transition numĂ©rique en installant une solution BIM adaptĂ©e aux besoins du client. Au Perray-en-Yvelines 78 par exemple, une commune qui souhaite devenir Ă  la fois autonome et productrice d’énergie, les auditeurs BIM de NextGen Village interviennent auprĂšs des agents de la collectivitĂ© pour les convertir au BIM, ce qui leur permettra ensuite de gĂ©rer l’installation d’une centrale biomasse afin de crĂ©er Ă  la fois de l’électricitĂ© et de la chaleur Ă  partir de combustible naturel. Il y a aussi les BIM managers, sorte de chefs de projet augmentĂ©s, chargĂ©s de coordonner et contrĂŽler la conception ou l’exploitation d’un bĂątiment, d’un quartier entier, voire d’une ville. Ils jonglent entre jargon numĂ©rique et vocabulaire politique pour mettre d’accord les diffĂ©rents acteurs d’un projet. Outre des compĂ©tences techniques, le BIM manager doit ĂȘtre dotĂ© d’un esprit de synthĂšse et ĂȘtre capable de comprendre les enjeux des acteurs dans un projet. Il est pĂ©dagogue, sait expliquer, nĂ©gocier, partager les ambitions de chacun et embarquer les acteurs vers un mĂȘme objectif », rĂ©sume Marie-Françoise Guyonnaud, responsable du MBA Smart city et management des Ă©co quartiers Ă  l’Institut LĂ©onard de Vinci et prĂ©sident de NextGen Village. À titre, d’exemple, un BIM manager qui intervient dans la phase d’exploitation d’un bĂątiment, est capable selon Marie-Françoise Guyonnaud de rĂ©duire de 75 % sa facture Ă©nergĂ©tique grĂące Ă  des donnĂ©es du BIM qu’il aura analysĂ©es. >> En savoir plus avec Explorimmo À quoi ressembleront nos villes en 2050 ? Gestionnaire de l’énergie le concierge de la consommation d’énergieL’un des objectifs d’une smart city est de consommer le moins d’énergie possible. Place donc aux objets connectĂ©s Les capteurs sont lĂ  pour mesurer la consommation. Il faut ensuite l’analyser et envisager des amĂ©liorations », relĂšve Guillaume GuĂ©rard, enseignant-chercheur au dĂ©partement nouvelles Ă©nergies de l’École supĂ©rieure d’ingĂ©nieurs LĂ©onard de Vinci ESILV. C’est le rĂŽle des gestionnaires d’énergie qui travaillent pour les syndics de copropriĂ©tĂ©, les entreprises ou les services de l’État qui exploitent un bĂątiment. Les gestionnaires d’énergie de Green Office, une marque de Bouygues Immobilier, pilotent par exemple Ă  Meudon les locaux de l’entreprise Sopra Steria afin que les charges fixĂ©es dans le cadre d’un contrat de performance Ă©nergĂ©tique ne dĂ©passent pas les montants convenus. S’ils sont dĂ©passĂ©s, ces experts de la donnĂ©e sont capables d’attribuer un malus Ă  l’exploitant du bĂątiment et un bonus dans le cas contraire. Un architecte d’intĂ©rieur qui pense Ă  votre consommation d’énergieL’amĂ©nagement d’espace fait aussi partie d’un objectif de rĂ©duction de la consommation d’énergie. Entre alors en jeu un nouveau type d’architecte d’intĂ©rieur, appelĂ© parfois energy manager. Ceux-lĂ  n’interviennent pas pour vous conseiller sur la couleur de votre cuisine, mais plutĂŽt sur la disposition de l’électromĂ©nager et des meubles afin d’éviter toute dĂ©perdition de chaleur. On peut dĂ©jĂ  croiser ces profils plutĂŽt ingĂ©nieurs chez Stimergy, une sociĂ©tĂ© qui a installĂ© son data center sous la piscine municipale de la Buttes-aux-Cailles, dans le XIIIe arrondissement de Paris, pour chauffer l’eau grĂące Ă  la chaleur Ă©mise par les serveurs. À Saint-Étienne ou encore dans le XVe arrondissement de Paris, le mĂȘme procĂ©dĂ© a Ă©tĂ© installĂ© dans des immeubles d’habitation. Les nouvelles missions des facteursMais tout ne sera pas qu’ingĂ©nierie et big data dans la ville nouvelle gĂ©nĂ©ration. Les services de proximitĂ© devraient retrouver une raison de vivre, pour au moins un motif en 2050, un tiers de la population française sera ĂągĂ©e de plus de 60 ans**. La Poste y a vu une possibilitĂ© de diversification. Les facteurs sont des gens qui passent tous les jours chez nous et pourraient faire beaucoup de choses pour les personnes dont la mobilitĂ© est rĂ©duite portage de mĂ©dicaments, des soins basiques ou rĂ©cupĂ©rer des colis Ă  envoyer », remarque Christian Grellier, directeur de l’innovation et du dĂ©veloppement durable de Bouygues Immobilier. Les facteurs de La Poste se chargent dĂ©jĂ  d’effectuer des visites rĂ©guliĂšres aux seniors, dans le cadre de l’offre Veiller sur mes parents ». Plus rĂ©cemment, une partie des agents postiers ont ajoutĂ© une autre corde Ă  leur arc en faisant passer l’examen du code de la route au sein des antennes postales locales. Preuve que dans la smart city, le lien humain est loin de disparaĂźtre. * Estimations de la Banque Mondiale, 2015. **Projections de population pour la France mĂ©tropolitaine Ă  l'horizon 2050, Insee, 2006.

laqualitĂ© de vie des malades. En 2022, la Ville de La Roche-sur-Yon rĂ©itĂšre ce rendez-vous en proposant une nouvelle formule mixte. Du 1er au 8 octobre : le choix est laissĂ© aux JosĂ©phines de courir ou marcher oĂč et quand elles le souhaitent durant ce temps donnĂ©. Le 9 octobre : retour d'un Ă©vĂ©nement en physique oĂč les JosĂ©phine seront

ArcGIS CityEngine Transformer vos donnĂ©es SIG 2D en modĂšles 3D urbain ArcGIS CityEngine est un produit autonome de modĂ©lisation de villes en 3D qui s’adresse aux professionnels de l’Architecture et de l’Urbanisme dans le cadre de la planification urbaine, simulation, projets d’architecture ou de production gĂ©nĂ©rale de contenus 3D. C’est une solution unique qui permet la modĂ©lisation conceptuelle et la crĂ©ation de bĂątiments et de villes en 3D de maniĂšre efficace et rapide, grĂące Ă  l’application de rĂšgles procĂ©durales. RĂ©alisez rapidement diffĂ©rents scĂ©narios Comparer et analyser diffĂ©rents scĂ©narios d’amĂ©nagement sous chaque angle. Voir comment ils s'insĂšrent dans une vision globale de votre ville pour l'avenir. Faire autant de scĂ©narios que vous avez besoin et ajouter des modifications. Cela permet d'Ă©conomiser du temps et de l'argent. Voir les vidĂ©os CrĂ©er un contexte rĂ©aliste DĂ©terminer d’oĂč les bĂątiments proposĂ©s seront visibles, oĂč ils projetteront leurs ombres et quelle sera leur exposition solaire. Faire de la visualisation 3D virtuelle aussi rĂ©elle que possible dans la phase de conception, vous permettra d'Ă©viter des erreurs coĂ»teuses dans la phase de construction. Voir les vidĂ©os Partager votre plan d’urbanisme Publier votre modĂšle 3D directement en ligne. D'autres personnes pourront interagir avec lui, comprendre votre amĂ©nagement et participer Ă  l'amĂ©lioration de leur communautĂ©. Voir les vidĂ©os Informations complĂ©mentaires Application native 64-bit compatible avec les plateformes Windows, Mac OS-X et Linux, reportez-vous aux prĂ©requis en version Basic ou Advanced plus de dĂ©tails o Basic LivrĂ© avec les Ă©lĂ©ments essentiels pour la crĂ©ation de bĂątiments 3D avec la possibilitĂ© d’importer des donnĂ©es SIG et d’exporter au format WebScene CityEngine. L’export est limitĂ© au format OBJ Collada ou FBX non disponible. Cette licence est adaptĂ©e aux indĂ©pendants, amateurs et artistes 3D. o Advanced LivrĂ© avec toutes les fonctionnalitĂ©s, y compris Python pour automatiser vos traitements et les tous les formats d’import/export sont commencer avec CityEngine, vous pouvez visionner ces tutoriaux ou utiliser la documentation fournie. Vous souhaitez tester ArcGIS City Engine ?

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Expositions Neuf expositions au cƓur de l’évĂ©nement, pensĂ©es autour du lien entre terre et villes, ont rythmĂ© la Bap! 2022. Parmi les sujets dĂ©couverts un nouveau regard sur les sols et les ressources du terroir, de nouvelles pratiques pour une architecture et des paysages plus rĂ©silients. Exposition ÉlĂ©ment terre » Une comprĂ©hension nouvelle, sensible, des sols que nous façonnons et qui façonnent nos vies, nos villes, nos paysages. L’exposition ÉlĂ©ment terre » prĂ©sentait une maquette vivante et grand format de la rĂ©gion Île-de-France, fabriquĂ©e en terres franciliennes. À sa surface, poussaient des algues, des mousses et des lichens figurant nos forĂȘts, jardins et zones urbanisĂ©es. Une longue coupe gĂ©ologique du bassin parisien dĂ©voilait ce qui se passe sous nos pieds, accompagnĂ©e d’une carte expĂ©rimentale et dĂ©tonante rĂ©alisĂ©e par la SociĂ©tĂ© d’objets cartographiques. L’exposition donnait Ă  voir des Ă©chelles inusitĂ©es et des ressources invisibilisĂ©es sous des formats spectaculaires et poĂ©tiques, sensibles et scientifiques. Exposition portĂ©e par L’Institut Paris Region Nous avons grandement besoin d’opĂ©rations de re-sensibilisation, de rĂ©-imagination, de repeuplement de l’imagination », Ă©crit la philosophe Isabelle Stengers dans l’ouvrage Un sol commun, paru en 2019. L’exposition ÉlĂ©ment terre » entend rĂ©pondre Ă  cet appel. Elle rĂ©vĂ©lera les liens qui unissent le socle gĂ©ographique francilien, l’usage des sols et l’utilisation des terres pour mieux comprendre comment nous nous ancrons sur ce territoire. Les matĂ©riaux gĂ©ologiques ont modelĂ© les vallĂ©es et les paysages oĂč les implantations humaines se sont dĂ©ployĂ©es. Les qualitĂ©s des sols ont permis le dĂ©veloppement de certaines cultures, forĂȘts, architectures vernaculaires
 Ce socle constitue notre assise au quotidien. Mieux le comprendre permettra de mieux l’habiter et vivre avec lui. CĂ©cile Diguet Directrice du dĂ©partement Urbanisme, AmĂ©nagement et Territoires de l’Institut Paris Region, commissaire de l’exposition Exposition Visible, invisible » L’invention de nouveaux terroirs par une approche matĂ©rielle et Ă©nergĂ©tique des milieux. Face Ă  l’urgence Ă©cologique, de nouvelles approches de l’architecture sont en train d’émerger, considĂ©rant plus que jamais les ressources physiques comme point de dĂ©part de la conception spatiale. La biennale a proposĂ© un espace de dĂ©couvertes, d’échanges et de partage autour des mĂ©canismes de transformation du terroir, des matiĂšres et des Ă©nergies, visibles et invisibles, dans l’acte de bĂątir. DĂ©ployĂ©e Ă  travers l’école d’architecture et dans le site exceptionnel de la Petite Ecurie, l’exposition se structurait en trois temps une monumenta » des ressources matĂ©rielles et Ă©nergĂ©tiques constituant le terroir de ces inventions pierre, terre, bois, eau, soleil, vent
 ; un tĂ©moignage des pratiques ambitieuses Ă  l’Ɠuvre en Île-de-France et ailleurs ; une plateforme de partage et d’expĂ©rimentations pour poursuivre ensemble ces recherches. Exposition portĂ©e par l’Ecole nationale supĂ©rieure d’Architecture de Versailles La cabane ou le feu ? ». En 1969, le critique Reyner Banham dĂ©finit l’architecture comme une stratĂ©gie double liĂ©e Ă  un milieu, et l’illustre par l’histoire d’une tribu qui arriverait au soir dans un campement bien approvisionnĂ© en bois ». Pour satisfaire Ă  sa condition homĂ©otherme face Ă  la nuit, le potentiel de ce bois peut ĂȘtre exploitĂ© selon deux mĂ©thodes construire un abri — la solution structurelle —, ou alimenter un feu ou un foyer — la solution Ă©nergĂ©tique. Un demi-siĂšcle plus tard, et face aux enjeux environnementaux, nous vous proposons d’explorer cette redĂ©couverte de la rationalitĂ© matĂ©rielle et Ă©nergĂ©tique par les architectes pour inventer les formes adaptĂ©es de nos lieux de vie. A votre tour aussi de contribuer Ă  l’invention des esthĂ©tiques visible et invisible des nouveaux terroirs, riches et conscients de leurs ressources et de leurs milieux. Guillaume Ramillien Architecte, commissaire de l’exposition Nicolas Dorval-Bory Architecte, commissaire de l’exposition Exposition La PrĂ©sĂ©ance du vivant » Au cƓur du potager du Roi, une rĂ©flexion engagĂ©e, Ă  la fois joyeuse et profonde, sur nos rapports actuels Ă  la nature. Avec La PrĂ©sĂ©ance du vivant », le public a explorĂ© la production contemporaine du paysage, lĂ  oĂč les Ă©cosystĂšmes sont au centre des projets. Cette exposition-jardin proposait une rencontre, un tissage, entre les savoirs scientifiques et l’émerveillement poĂ©tique de nos relations aux autres. Elle mettait en lumiĂšre la diversitĂ© de nos rapports au vivant et la richesse des ĂȘtres qui habitent ensemble cette planĂšte. Ces rĂ©flexions ont Ă©tĂ© reprises dans un numĂ©ro des Carnets du paysage et le public a participĂ© au Potager du Roi Ă  la plantation d’un jardin collaboratif Le Potager des autres ». Le public a Ă©galement pu se mettre dans la peau d'un Ă©tudiant en paysage qui dĂ©couvre comment "prendre soin du sol" dans les projets de paysage avec l'exposition "ProjetsTerres", qui prĂ©sentait les rĂ©alisations des Ă©tudiants de l'Ă©cole. Ce fut ainsi une vĂ©ritable invitation Ă  articuler les enjeux du jardin aux enjeux planĂ©taires de protection des Ă©cosystĂšmes. Proposition portĂ©e par L’École nationale supĂ©rieure de paysage Cette exposition vous fera dĂ©couvrir les projets de paysage les plus Ă  la pointe sur les questions d’écologie et de relation au vivant. Au Potager du Roi, vous pourrez Ă©galement participer Ă  la plantation du Potager des autres ». Ce jardin, qui naĂźtra du travail de tous ceux qui souhaitent s’y impliquer, est une invitation Ă  l’Ɠuvre. Venez avec vos graines, nous vous fournirons outils, semences et jeunes plants pour exprimer votre crĂ©ativitĂ© Ă  nos cĂŽtĂ©s et construire ensemble une connaissance commune du vivant. Vous trouverez sur place des plats Ă©laborĂ©s Ă  partir des ingrĂ©dients rĂ©coltĂ©s dans le Potager du Roi. Vous remporterez avec vous un peu de la magie collective qui aura donnĂ© vie au jardin. Gilles ClĂ©ment Paysagiste, commissaire de l’exposition Miguel Georgieff Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Pablo Georgieff Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Nicolas Bonnenfant Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Exposition Terre! Land in sight! » Trois pavillons grand format pour un dialogue avec le Monde. Trois laurĂ©ats du Global Award for Sustainable Architecture, venus du Mexique, de Jordanie et de ThaĂŻlande, ont conçu trois pavillons grandeur nature, pour rĂ©pondre Ă  la question cruciale de notre Ă©poque comment rĂ©inventer notre habitat face Ă  l’urgence climatique et Ă  l’épuisement de nos ressources ? Ces pavillons prĂ©sentaient chacun une vision de l’architecture fondĂ©e sur la synergie entre les savoirs globaux et ceux propres Ă  des modes de vie locaux, enracinĂ©s dans des milieux culturels uniques mĂ©thodes d’auto-dĂ©veloppement et savoir-faire vernaculaires, green-tech et sciences locales du climat, circulation globalisĂ©e des biens et Ă©conomies circulaires. Face Ă  ces dĂ©fis complexes, les architectes ont dĂ©passĂ© le territoire traditionnel de leur discipline ‱ Rozana Montiel Mexique a affirmĂ© le rĂŽle de l’architecte comme catalyseur politique avec l’installation S’insurger pour les mers ! ». ‱ Ammar Khammash Jordanie a plaidĂ© pour un dialogue entre l’architecte et les synergies universelles avec l’installation À la recherche de l’horizon ». ‱ Boonserm Premthada ThaĂŻlande a explorĂ© les relations entre l’architecte et le vivant avec l’installation Le théùtre de l’élĂ©phant ». Exposition portĂ©e par la CitĂ© de l’architecture et du patrimoine Il y a cent ans, face au surgissement de l’ùre industrielle et Ă  l’émergence brutale de la grande ville, les architectes du Bauhaus se donnaient l’ambition extraordinaire de “civiliser le monde moderne, au rythme des sociĂ©tĂ©s en changement”, selon l’expression de Walter Gropius. Pourquoi les architectes du XXIe siĂšcle ne se donneraient-ils pas l’ambition extraordinaire de prĂ©server l’avenir du monde habitĂ©, au rythme des Ă©cosystĂšmes en changement ? À la fois dĂ©monstratifs et ludiques, ces trois pavillons permettent de mieux comprendre comment l’architecture, elle aussi, fait face aux grandes ruptures Ă©cologiques qui nous sĂ©parent du XXe siĂšcle. En nous invitant Ă  fabriquer le sens du monde dans lequel nous vivons, ces pavillons rĂ©inventent l’idĂ©e de progrĂšs et rĂ©veillent l’espoir d’une planĂšte habitable pour tous les ĂȘtres vivants. Jana Revedin architecte et urbaniste PhD, pprofesseure Ă  l’École SpĂ©ciale d’Architecture Paris, commissaire de l’exposition Exposition Le pavillon du Grand Paris Express » Une exposition immersive sur le plus grand projet urbain menĂ© en Europe. La SociĂ©tĂ© du Grand Paris et Dominique Perrault ont prĂ©sentĂ© une exposition immersive consacrĂ©e au nouveau mĂ©tro et Ă  son ambition urbaine, architecturale et environnementale. Cette exposition prenait la forme d’un pavillon Ă  l’intĂ©rieur duquel Ă©tait diffusĂ© un film retraçant cette aventure urbaine l’histoire du mĂ©tro de Paris, les chantiers, les tunnels, les nouvelles gares et les trains dĂ©filaient Ă  360 degrĂ©s. Cette exposition avait Ă©tĂ© imaginĂ©e pour participer au rayonnement du projet du Grand Paris, Ă  la fois vitrine d’un savoir-faire français et europĂ©en en matiĂšre d’architecture, de mobilitĂ©, d’urbanisme et de culture, et symbole des transformations en cours dans les grandes mĂ©tropoles. Tout autour du pavillon, l’exposition prĂ©sentait des cartographies historiques du Grand Paris et des quartiers des 68 futurs gares. Elle dĂ©taillait les mutations urbaines et les opportunitĂ©s Ă©cologiques engendrĂ©es par le mĂ©tro, comme la valorisation des terres excavĂ©es lors du creusement des tunnels, et les projets architecturaux des gares se dĂ©couvraient Ă  travers une sĂ©lection de maquettes et d’interviews des concepteurs du projet. Exposition portĂ©e par La SociĂ©tĂ© du Grand Paris À travers cette exposition, c’est le savoir-faire français en matiĂšre d’infrastructure, d’architecture et d’urbanisme qui est mis Ă  l’honneur mais c’est aussi, autour de l’ensemble des architectes, ingĂ©nieurs, designers et artistes internationaux mobilisĂ©s, un hommage Ă  l’Europe dans sa capacitĂ© Ă  produire des projets mĂ©tropolitains de grande Ă©chelle, aux ambitions environnementales affirmĂ©es. Le voyage immersif, au sein de ce pavillon, offre au visiteur une dĂ©couverte originale d’un projet en marche, de la construction d’une infrastructure complexe Ă  son influence sur la diversitĂ© des territoires qu’elle traverse. Alors que partout dans le monde la mobilitĂ© est devenue un enjeu essentiel pour l’avenir des mĂ©tropoles, ce projet part Ă  la rencontre de tous les publics, habitants de capitales rĂ©gionales ou mondiales. Au cƓur des enjeux contemporains, je souhaite que l’exposition que nous avons imaginĂ©e interroge et donne Ă  voir la synergie des compĂ©tences mises au service d’un modĂšle de dĂ©veloppement mĂ©tropolitain favorisant la construction d’une ville qui donne confiance Ă  sa population, Ă  la fois dense et agrĂ©able Ă  vivre, connectĂ©e, mixte, attractive et durable. Dominique Perrault Architecte, ur baniste, membre de l’Institut, commissaire et concepteur du pavillon Exposition Territoires en transformation » Le projet du Quartier de Gally une exploration du rĂŽle fondamental que joue la terre dans nos territoires en transformation. La reconversion d’emprises industrielles lĂ©guĂ©es par le XXe siĂšcle, la requalification des lisiĂšres agricoles et pĂ©ri-urbaines, engagent depuis quelques dĂ©cennies d’importantes mutations oĂč s’invente l’espace public de demain. Et de nouveaux enjeux s’annoncent dĂ©jĂ  avec les abords de nos villes, confrontĂ©s au dĂ©clin des zones commerciales et de leurs gigantesques parkings 
 qu’en faire ? Ces transformations sont Ă©troitement liĂ©es aux mouvements de terre, Ă  la dĂ©finition de sols, Ă  la gestion des eaux. Les processus qui les sous-tendent s'appuient sur des phĂ©nomĂšnes naturels, mais aussi des pratiques agricoles, et parfois des pratiques de gĂ©nie civil. De l’échelle du territoire Ă  celle des villes et de ses sols artificialisĂ©s, elles Ă©tablissent pour chacune des cohĂ©rences physiques spĂ©cifiques oĂč la vie s’installe. Exposition portĂ©e par Michel Desvigne et Icade Le paysage est souvent abordĂ© du seul point de vue de sa protection. Le transformer est considĂ©rĂ©, Ă  priori, comme suspect. Typiquement, lorsque les architectes paysagistes invoquent la terre » ou la gĂ©ographie », on pense gĂ©ographie naturelle alors qu'il s’agit surtout de gĂ©ographie humaine, puisque notre territoire est largement structurĂ© par l'activitĂ©, les pratiques et les relations humaines. L’observation des territoires, des interfĂ©rences entre phĂ©nomĂšnes naturels et artificiels permet justement d’envisager de nouvelles transformations. L’enjeu n’est pas d’embellir un hĂ©ritage difficile, mais de tirer profit de la particularitĂ© des configurations rencontrĂ©es pour rĂ©pondre aux enjeux contemporains. Michel Desvigne Paysagiste, commissaire de l’exposition Exposition district 2024, AU-DELA du village des athlĂštes » Une immersion du visiteur dans le processus d’élaboration du futur village des athlĂštes de Paris 2024. Au 1er Ă©tage de l’ancienne poste de Versailles, l’exposition District 2024 au-delĂ  du Village des AthlĂštes » plongeait le visiteur dans le processus d’élaboration de ce grand projet de quartier rĂ©versible, Ă  deux ans des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Le public a dĂ©couvert sa genĂšse, ses retrouvailles avec la Seine mais aussi les fictions et imaginaires dĂ©veloppĂ©s, les multiples chemins de recherche explorĂ©s, nourrissant jour aprĂšs jour les processus de fabrication de la ville de demain. Sur plus de 500 m2, l’exposition a Ă©tĂ© pensĂ©e comme un grand espace de rĂ©flexion mais aussi comme un lieu dĂ©changes et d’information. OrganisĂ©e autour d’un grand forum, le visiteur Ă©tait invitĂ© Ă  participer aux nombreuses confĂ©rences et dĂ©bats, animĂ©s par la quarantaine de concepteurs, architectes et paysagistes. Exposition portĂ©e par l’agence Dominique Perrault Architecture L’avenir du Village des AthlĂštes est au-delĂ  de lui-mĂȘme. Il s’agit bien sĂ»r de constituer un quartier exemplaire Ă  l’horizon 2025 et Ă  plus long terme en 2050, capable d’offrir temporairement un accueil d’exception aux athlĂštes et Ă  leurs dĂ©lĂ©gations. Mais c’est avant tout, une rĂ©flexion urbaine de long terme ayant pour objectif la constitution d’un nouveau quartier durable, un morceau de ville offert Ă  tous, profondĂ©ment connectĂ© au grand territoire, théùtre d’une densitĂ© de transformations urbaines sans prĂ©cĂ©dents. À travers cette exposition, je souhaite prĂ©senter au public cette dĂ©marche de conception inĂ©dite qui est un processus de rĂ©vĂ©lation de ce qui existe, de ce qui a existĂ© et de ce qui existera. C’est grĂące Ă  la mise en place de ce que nous avons appelĂ© des ateliers d’urbanisme », rĂ©unissant les Ă©quipes de maitrise d’Ɠuvre, les acteurs du territoire et les collectivitĂ©s, que nous avons rĂ©ussi Ă  dĂ©passer les limites strictes du pĂ©rimĂštre d’opĂ©ration du projet pour mieux l’ancrer au sein de sa gĂ©ographie et de son territoire. Cette inscription dĂ©passe la simple affaire de l’amĂ©nagement opĂ©rationnel ainsi que celle d’accueillir la famille olympique. Il s’agit de mettre en lumiĂšre un hĂ©ritage possible pour fonder une nouvelle habitabilitĂ© de notre planĂšte. Dominique Perrault Architecte, urbaniste, commissaire de l’exposition Exposition VĂ©gĂ©tal et Architecture » Un mur de pierres, habitĂ© par faune et flore Le mur biodiversitaire questionne notre rapport au vivant dans la ville. Conçu dans le cadre d’une recherche menĂ©e par l’agence ChartierDalix depuis plusieurs annĂ©es, cet ouvrage Ă©tait Ă  la fois un mur porteur massif et un sol vertical, habitĂ© par faune et flore. Tellurique, compact et enveloppant, il s’apparentait Ă  une fabrique de jardin ponctuant la promenade. Exposition portĂ©e par la MĂ©tropole du Grand Paris Deux ouvertures tournĂ©es vers le chĂąteau de Versailles offrent un enchainement de perspectives. Une toiture cintrĂ©e, comme en lĂ©vitation, couvre l’ouvrage en pierre sĂšche. Ce pavillon est Ă©galement un dĂ©monstrateur des ressources cachĂ©es de la ville il expose le potentiel liĂ© aux gisements de matĂ©riaux, les enjeux liĂ©s Ă  leur revalorisation et incite Ă  une rĂ©flexion sur la restauration des milieux Ă©cologiques en zones urbaines. Il tĂ©moigne du champ des possibles offert par le rĂ©emploi, le savoir-faire et l’imagination pour nos constructions de demain. Chartier Dalix Concepteurs et maitres d’Ɠuvre du mur biodiversitaire Exposition Voyage au centre de la Terre » La dĂ©couverte de chef d’Ɠuvres minĂ©raux, naturels, bruts Contrairement Ă  une apparente sĂ©rĂ©nitĂ©, notre planĂšte est en perpĂ©tuel mouvement depuis sa crĂ©ation il y a 5 milliards d’annĂ©es. De son cƓur bouillonnant Ă  jusqu’aux plaques continentales posĂ©es sur le manteau magmatique, ces dĂ©placements provoquent quelques sĂ©ismes et 60 Ă©ruptions volcaniques, enregistrĂ©s chaque annĂ©e. Ces Ă©vĂšnements gĂ©ologiques crĂ©ent des brassages de minĂ©raux multicolores et d’oxydes mĂ©talliques, donnant naissance Ă  des tableaux minĂ©raux naturels exclusifs, vĂ©ritables tĂ©moignages de la vie de notre planĂšte que les visiteurs ont pu dĂ©couvrir et admirer. Exposition portĂ©e par les Marbriers de Versailles - MDY ÉlĂ©ment essentiel des arts et de l’architecture, le marbre est considĂ©rĂ© par les grecs comme une matiĂšre vivante. Cette matiĂšre intemporelle Ă©merveille, par ses couleurs, ses nuances, pour parfois donner le sentiment de se trouver face Ă  une toile d’artiste, ou Ă  une photographie de la terre, vue du ciel ! Ces Ɠuvres d’art, exposĂ©es le long de l’avenue de Paris, dont vous trouverez un complĂ©ment au sein de l’École Nationale SupĂ©rieure de Paysage et du Potager du Roi, sont de vĂ©ritables chefs d’Ɠuvres naturels, bruts. Les 48 plaques prĂ©sentĂ©es sont issues de carriĂšres des 5 continents. Avec cette exposition, je vous invite Ă  dĂ©couvrir cette matiĂšre unique et admirable, Ă  vous Ă©merveiller devant ces brĂšches, granits, marbres, onyx, quartzites et autres pierres, qui, au-delĂ  de leur beautĂ©, nous transmettent leur Ă©nergie. Philippe Ledrans Marbrier

LEGO21044 Architecture Paris Maquette Ă  Construire avec Tour Eiffel, Collection Skyline, DĂ©coration Maison, IdĂ©e de Cadeau. 3 950. 44,95€49,99€. Recevez-le mardi 25 janvier. Livraison GRATUITE par Amazon. Autres vendeurs sur Amazon. 39,10 € (39 offres de produits d’occasion et neufs) Âges : 12 - 15 ans. Dans le cadre de la rĂ©forme 2016, il est demandĂ© aux professeurs de travailler avec les Ă©lĂšves la gĂ©ographie prospective. Il s’agit dans ce cas prĂ©cis d’une activitĂ© de crĂ©ation qui consiste Ă  imaginer plusieurs Ă©volutions possibles au sein d’un territoire. L’affichage des travaux d’élĂšves a Ă©tĂ© possible grĂące Ă  l’autorisation des parents, je les en remercie sincĂšrement. Les citĂ©s de demain ne sont pas celles forcĂ©ment dont on rĂȘvait hier. Jamais nos mĂ©tropoles n’ont autant changĂ© qu’au cours des derniĂšres dĂ©cennies Ă  cause de l’urbanisation massive. La population mondiale augmente et il y a de plus en plus de citadins ! La maquette d'Alice, AnaĂŻs, ÉloĂŻse 6Ăšme7 La Padlet. La grille d’évaluation des maquettes est lĂ  ! La mĂ©thode du Quels seront les modes de transport que vous utiliserez dans la citĂ© de l’avenir ? ThĂšme 2 = la ville miroir – Comment sera l’architecture de nos mĂ©tropoles ? ThĂšme 3= la ville ventre – Comment nourrir les habitants de nos villes demain ? ThĂšme 4 = la smart city – Comment communiquer dans la ville de demain ? ThĂšme 5 = la ville intĂ©gratrice – Comment mieux vivre ensemble dans la ville de demain ? ThĂšme 6 = Comment faire vivre une ville durable ? La maquette d'InĂšs C. 6Ăšme4. Dans le cadre de la liaison Écoles / collĂšge, des visites d’élĂšves volontaires sont proposĂ©es dans leurs anciennes Ă©coles primaires. L’affiche utilisĂ©e au sein de l’établissement a permis de mobiliser les Ă©lĂšves pour le concours de la maquette de la ville de demain. Des liens utiles, ici. Ou ici ! La maquette de Sara, Lucie, SalomĂ©, Lola 6Ăšme5. Pour publier des travaux d’élĂšves, des rĂšgles Ă  respecter !
Dansle cadre des cours de géographie sur les métropoles, les élÚves de 6Úme ont imaginé la ville de demain en produisant des maquettes et en respectant certains critÚres
Au rythme actuel de croissance des villes, la pollution de l'air et les difficultĂ©s de circulation deviennent des enjeux cruciaux pour les gĂ©nĂ©rations Ă  venir. Limiter l'automobile, voire la bannir, ne suffira pas. Voici quelques projets qui esquissent des Ă©lĂ©ments des villes du projet de pont-jardin au-dessus de la Tamise, entre la station de mĂ©tro Temple et le centre Southbank. Il offrirait non seulement un passage aux piĂ©tons dans ces quartiers trĂšs frĂ©quentĂ©s, mais Ă©galement une autre vision de la ville. © Garden Bridge Trust L'Ă©pisode de pollution qui a frappĂ© l'Île-de-France la premiĂšre semaine de mars 2014 a marquĂ© les esprits, mais il n'est que la face visible d'un problĂšme d'ampleur mondiale. La Chine a Ă©tĂ© fortement touchĂ©e, et l'OMS annonce ce 25 mars que la pollution serait responsable de la mort de 7 millions de personnes par an dans le monde. Plus de la moitiĂ© de l'humanitĂ© vit dĂ©sormais en ville, et la proportion continuera de croĂźtre dans les annĂ©es Ă  venir. Aux Ă©missions de polluants par les industries, au chauffage et Ă  la circulation automobile s'ajoutent bien d'autres problĂšmes Ă  questions ne sont pas nouvelles, mais elles se posent de maniĂšre de plus en plus nette. Il n'est donc pas surprenant de voir fleurir ces derniers temps quelques projets futuristes » pour les villes Ă  venir. En voici quelques-uns, du pont-jardin londonien au cas concret de Masdar City, cette ville toute neuve créée Ă  Abou Dhabi, dans les Émirats arabes unis, en passant par le Skytran de la rĂ©duire la pollution et supprimer l’automobileLe point commun de ces projets est sans doute le bannissement de l'automobile, qu'il s'agisse soit d'espaces piĂ©tonniers soit d'un transport commun censĂ©ment efficace pour la remplacer. ImaginĂ© en 1998 par l'actrice anglaise Joanna Lumley que les Français ont connue dans la derniĂšre sĂ©rie de Chapeau melon et bottes de cuir, le projet de pont-jardin au-dessus de la Tamise, Ă  Londres, a Ă©tĂ© remis au goĂ»t du jour en 2013 grĂące au designer Thomas Heatherwick. Un consortium s'est mis en place pour prĂ©senter ce Garden Bridge. Ce jardin suspendu de 367 m de longueur serait un passage pour piĂ©tons plantĂ© d'arbres et de pont fleuri ne suffira pas, cependant, pour expulser de la ville toutes les voitures. Transporter les milliards de piĂ©tons exige de trouver des mĂ©thodes efficaces qui restent pour l'essentiel Ă  imaginer. Dans leur Ă©tude dĂ©nommĂ©e Skytran, des ingĂ©nieurs de l'Ames Research Center de la Nasa proposent un Internet physique ». Leur vision est celle de capsules portĂ©es par un rĂ©seau de tubes parcourant la ville. Ces engins sont suspendus par effet magnĂ©tique Ă  quelques mĂštres au-dessus du sol et peuvent abriter plusieurs personnes voyageant jusqu'Ă  100 km/h. Ce n'est pas un transport en commun au sens habituel du terme, puisque chaque vĂ©hicule arrive sur demande effectuĂ©e par tĂ©lĂ©phone au niveau de stations. Un rĂ©seau de tubes et d'aiguillage irrigue la ville, et l'ensemble consomme trĂšs peu d'Ă©nergie. Chaque vĂ©hicule consomme autant que deux sĂšche-cheveux », s'est enthousiasmĂ© sur TF1 Jean-Paul Plancade, sĂ©nateur de Haute-Garonne, qui aimerait voir le Skytran Ă  Toulouse. Le coĂ»t serait faible comparĂ© Ă  d'autres moyens de transport, selon ses concepteurs sept millions d'euros le kilomĂštre, selon les informations fournies par Les Échos. La mĂȘme source indique des prix plus Ă©levĂ©s pour les voies propres rĂ©servĂ©es aux bus et pour le tramway voir une analyse des coĂ»ts rĂ©alisĂ©e par la Dreal, direction rĂ©gionale de l'environnement, de l'amĂ©nagement et du logement, du Languedoc-Roussillon. La ville de Tel-Aviv serait intĂ©ressĂ©e, mais Ă  ce jour, le projet n'a pas Masdar City, en revanche, les PRT roulent... Les PRT, pour personal rapid transits », soit quelque chose comme transports courts rapides et personnalisĂ©s », sont des vĂ©hicules autonomes, pour un petit nombre de passagers. Le Skytran est donc un PRT. Dans la ville construite Ă  Abou Dhabi, de petits vĂ©hicules sur roues suivent des pistes en bĂ©ton dans lesquelles sont inclus des aimants servant de repĂšres. Les plans initiaux de ce gigantesque projet d'une ville entiĂšre rĂ©alisĂ©e de toutes piĂšces et toujours en construction prĂ©voyaient que ces PRT irrigueraient toute la ville, mais la crise Ă©conomique a eu raison des idĂ©es les plus audacieuses. Comme l'explique un journaliste de Popular Science rapportĂ© par Courrier international, le dĂ©ploiement des voies sous tous les immeubles de la ville aurait coĂ»tĂ© trop cher, et il a fallu se contenter de quelques lignes. Mais pourtant, elles roulent...L'analyse des idĂ©es difficiles Ă  mettre en ƓuvreDans les villes dĂ©jĂ  existantes, les projets se heurtent souvent aux rĂ©ticences face aux rĂ©amĂ©nagements Ă  effectuer et aux Ă©ventuels ouvrages d'art Ă  construire. C'est le cas avec le tramway, dont les coĂ»ts de rĂ©alisation sont trĂšs variables et parfois difficiles Ă  estimer. Les estimations pour le pont-jardin de Londres Ă©voquent de 50 millions Ă  125 millions d'euros. À Masdar City, pourtant créée sur le sable, les projets sont revus Ă  la baisse. En Chine, oĂč les pouvoirs publics se sont emparĂ©s de la question, l'Ă©normitĂ© des citĂ©s rend difficile la rĂ©alisation de belles idĂ©es. Il semble par exemple que l'Ă©tonnant projet de bus gĂ©ant enjambant les routes, montrĂ© en 2010 par Shenzhen Huashi Future Parking Equipment, soit toujours dans les limbes. Quant au PRT Ă  Tel-Aviv, on en attend toujours des nouvelles. Les idĂ©es vont donc bien plus vite et plus loin que les rĂ©alisations, ce qui n'est guĂšre surprenant. Les affirmations du genre la construction commencera dĂšs l'annĂ©e prochaine » sont donc Ă  considĂ©rer avec Ɠil sur le futur la ville de demain devra ĂȘtre pensĂ©eLes innovations technologiques ne rĂ©solvent pas tout, et les projets doivent s'enrichir de toutes les bonnes idĂ©es, y compris concernant l'amĂ©nagement et le peuplement des villes. Les quartiers trop spĂ©cialisĂ©s habitations, services, etc., comme c'est souvent le cas en Chine mais aussi en Europe, imposent des dĂ©placements plus longs. À Masdar City, les concepteurs sont allĂ©s chercher les bonnes pratiques ancestrales pour protĂ©ger la ville de la chaleur lĂ -bas, bien sĂ»r, c'est la climatisation qui consomme de l'Ă©nergie. Les immeubles de la citĂ©, serrĂ©s les uns contre les autres, mĂ©nagent des ruelles sombres et des esplanades Ă  l'ombre. Des persiennes protĂšgent les passages publics des rayons du soleil. Et les tours Ă  vent fonctionnent trĂšs semble-t-il par les Perses, elles apportent de la fraĂźcheur au niveau du sol. EntiĂšrement creuses, elles fonctionnent selon deux principes. Passant au-dessus de l'ouverture, situĂ©e plus haut que les immeubles alentour, le vent crĂ©e une aspiration qui extrait l'air chaud au niveau du sol. La tour peut Ă©galement capter le vent quand il souffle suffisamment fort et le faire descendre dans la tour pour le rĂ©pandre au sol. C'est le principe de la premiĂšre tour Ă  vent rĂ©alisĂ©e Ă  Masdar City, qui culmine Ă  45 m et est dotĂ©e de persiennes automatiques qui s'ouvrent face au vent. Des brumisateurs envoient une petite quantitĂ© d'eau au passage. L'air s'Ă©coulant au sol a une tempĂ©rature un peu plus basse avec, de plus, une vitesse et une humiditĂ© qui apportent une sensation de fraĂźcheur. Tout cela sans turbine ni machinerie solution n'est pas applicable partout, bien sĂ»r, mais cet exemple rĂ©ussi montre qu'Ă  l'avenir, les villes ou les quartiers devront ĂȘtre bĂątis, ou rebĂątis, en intĂ©grant ce genre d'idĂ©es...-La Chronique du futur veut dĂ©crypter les tendances fortes qui dessinent des voies possibles pour l'avenir. Ce ne sont donc pas des prĂ©dictions mais des portes ouvertes sur quelques paysages du monde de demain...IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?
DĂ©couvrezma boutique juste ici UTILISÉ:- BALZA: https://www.geant-beaux-arts.fr/planchette-de-balsa.html- C Les Ă©lĂšves des deux classes de 6e ont eu la chance de participer Ă  un concours interne de gĂ©ographie urbaine, proposĂ© par leur professeur d’histoire/gĂ©ographie, M. Granier. Le sujet Ă©tait “2040, habiter la ville de demain”. Ils pouvaient travailler en groupe de trois ou seul et rĂ©aliser soit un plan de ville imaginaire soit une maquette. Chaque production devait ĂȘtre accompagnĂ©e d’explications sur les fonctions de la ville choisie. Les enfants pouvaient s’aider d’internet, de recherches faites au CDI centre de documentation et d’information, d’exemples vus en classe, de conseils auprĂšs du professeur. Ils devaient croire en leur projet car ils devaient le prĂ©senter Ă  la classe, oralement, lors d’une sĂ©ance spĂ©ciale. Quelques questions, posĂ©es par le professeur, devaient aider les jeunes et les guider dans la conception de leur idĂ©e. Comment se dĂ©placer dans la ville de demain ? Comment seront les bĂątiments ? Comment mieux vivre ensemble ? Quelle place accorder Ă  l’environnement ? Toutes les rĂ©alisations, diverses et trĂšs riches, ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es Ă  la maison, en deux semaines environ, puis exposĂ©es Ă  la mĂ©diathĂšque oĂč les parents ont pu les voir. Cela a permis aussi d’amener les Ă©lĂšves dans ce lieu culturel oĂč certains ne sont jamais venus. Un vote a permis de sĂ©lectionner la meilleure production, avec, pour le ou les gagnants, la fiertĂ© d’ĂȘtre en tĂȘte. 9Tfx.